Qui est la personne qui danse le mieux au monde ?

L’essentiel et les points à retenir :

  • La danse, qu’elle soit en solo, en couple ou en groupe, améliore le bien-être psychologique et la capacité cognitive.
  • Un programme de danse structuré d’au moins six semaines a des effets positifs sur le bien-être émotionnel, la dépression, la motivation, la cognition sociale et certains aspects de la mémoire.
  • Le tango argentin, né sur les rives du Rio de la Plata en Argentine, est langoureux et sensuel, et a des effets positifs sur le bien-être émotionnel et la cognition sociale.
  • Les neurosciences ont découvert que la danse change certaines zones cérébrales et influence directement nos émotions.
  • La danse, que ce soit la zumba, le modern jazz, la salsa ou la danse folklorique, a des effets positifs sur le bien-être psychologique et la capacité cognitive.

Une autre méta-analyse, intégrant 1 392 personnes (dont 944 femmes) et publiée dans Sports Medicine le 25 janvier, montre que la danse, que ce soit la zumba, le modern jazz, la salsa, la danse folklorique, qu’elle soit en solo, en couple ou en groupe, améliore le bien-être psychologique et la capacité cognitive, outre le plaisir de la musique qui n’est pas étudié ici mais dont on sait qu’il est puissant. Un programme de danse structuré d’une durée d’au moins six semaines a des effets positifs sur « le bien-être émotionnel, la dépression, la motivation, la cognition sociale et certains aspects de la mémoire », explique le communiqué de l’université de Sydney.

Une autre méta-analyse, intégrant 1 392 personnes (dont 944 femmes) et publiée dans Sports Medicine le 25 janvier, montre que la danse, que ce soit la zumba, le modern jazz, la salsa, la danse folklorique, qu’elle soit en solo, en couple ou en groupe, améliore le bien-être psychologique et la capacité cognitive, outre le plaisir de la musique qui n’est pas étudié ici mais dont on sait qu’il est puissant. Un programme de danse structuré d’une durée d’au moins six semaines a des effets positifs sur « le bien-être émotionnel, la dépression, la motivation, la cognition sociale et certains aspects de la mémoire », explique le communiqué de l’université de Sydney.1. Tango Argentin – Buenos Aires

Langoureux et sensuel, le tango est né sur les rives du Rio de la Plata en Argentine, à la fin du XIXème siècle, dans les faubourgs populaires de Buenos Aires. Véritable capitale du tango, Buenos Aires regorge de milongas où pratiquer dans une ambiance authentique.

Cerveau et danse : la merveilleuse neurobiologie de la danse

Bouger le corps pour transformer l’esprit… Ces dernières années, les neurosciences ont découvert que la danse change certaines zones cérébrales et influence de manière directe nos émotions, notre mémoire et notre créativité. Nous abordons ici le sujet.Dernière mise à jour : 15 novembre, 2021

4. Danser améliore l’estime de soi et l’assurance

Outre le fait que danser nous permet d’établir des liens avec d’autres personnes, il est démontré que maintenir de bons liens affectifs et se socialiser contribue à augmenter l’estime de soi et les attitudes positives à l’égard de soi-même et des autres. Prendre des cours de danse est donc un excellent moyen pour vaincre la timidité et aider les personnes à perdre cette « peur du ridicule », car par exemple tomber en dansant est une erreur typique que tous les danseurs ont connu dans leur vie, et qu’ils ne voient pas comme un motif de honte.

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Cependant, la magie de la danse ne peut pas simplement se réduire à la chimie cérébrale. Danser est aussi une activité sociale qui nous permet d’être en contact avec d’autres personnes, de partager des expériences et de connaître de nouvelles personnes, ce qui a un effet très bénéfique sur notre santé mentale.Et, rappelons-nous, que pendant que nous bougeons, nos muscles s’étirent à la mesure de la musique, ce qui nous permet de nous libérer des tensions quotidiennes, surtout celles qui s’accumulent dans notre musculature plus profonde.Photos : Shutterstock

La danse, avec sa complexité de gestes et son ouverture corporelle, est une championne pour ce qui est d’améliorer le moral et réveiller les ardeurs. Danser aide à se sentir mieux, dans tous les sens du terme. Sentir pour de bon les limites de son corps, ses contours, a un effet bénéfique sur la conscience de soi. C’est déjà une joie. A laquelle s’ajoutent les endorphines libérées par l’accélération cardiaque. L’autre grand bonheur lié à la danse concerne évidemment le plaisir de la musique. Son rythme nous rappelle notre rythme cardiaque, sa mélodie aère la tête, libère le sentiment. Enfin, lorsqu’on parvient à reproduire une chorégraphie ou des pas compliqués, on libère de la dopamine, l’hormone de la récompense. Le sentiment de fierté qui en découle est encore une source de félicité.

À Découvrir: Où trouver le film flashdance ?

Lecture écouter 1h 19 La danse, c’est rendre possible un vivre-ensemble et une unité en convoquant quelque chose au plus profond de notre être, explique la réalisatrice : « La danse, c’est le premier pas que l’on peut faire vers l’autre, parce qu’isolé et en situation de handicap, on n’est rien tout seul et c’est l’autre qui a cette vertu, cette grâce de nous faire grandir et de nous donner notre place légitime. Aussitôt qu’on est à côté de quelqu’un d’autre le premier pas de danse qu’on fait vers lui, on arrive à s’ancrer et à trouver un sens et une place dans notre propre vie, la vertu de la dimension collective de la danse ».

Le danseur Lil Buck, dans la série documentaire « Move ». NETFLIX

NETFLIX – À LA DEMANDE – SÉRIE DOCUMENTAIREUne série Netflix sur la danse contemporaine ? On se pince pour y croire. Encore plus lorsqu’on découvre les chorégraphes invités sur les cinq épisodes de cette première saison. Intitulée Move, cette collection réalisée par Thierry Demaizière et Alban Teurlai juxtapose les street dancers américains Lil Buck & Jon Boogz, l’Israélien Ohad Naharin, la star flamenca Israel Galvan, la Jamaïcaine Kimiko Versatile et le Britannique Akram Khan. Styles différents, profils tranchants, parcours combatifs, la sélection de ces chorégraphes hautement singuliers est excitante.

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La danse est un moteur extraordinaire pour se dépasser et surmonter ses difficultés, nous dit Sylvie Fortin, enseignante et chercheuse pendant près de 35 ans au Département de danse de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Spécialiste de l’éducation somatique, une prise de conscience de soi par le mouvement, elle s’est intéressée à la santé des danseurs et au rôle de la danse dans le mieux-être de personnes issues de divers milieux, comme des personnes atteintes de maladie ou des populations fragilisées sur les plans social et économique.

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