Quelle nationalité léa salamé ?

L’essentiel et les points à retenir :

  • Léa Salamé est née à Beyrouth, au Liban, en 1979.
  • Elle a obtenu la nationalité française à l’âge de 11 ans.
  • Son père, Ghassan Salamé, est un ancien ministre libanais de la Culture et politologue, tandis que sa mère, Mary Boghossian, est d’origine arménienne.
  • Léa Salamé est une journaliste française d’origine libanaise.
  • Elle a étudié le droit à l’Université Panthéon-Assas et à Sciences Po, et a passé une année à l’Université de New York.
  • Léa Salamé est une personnalité connue du paysage audiovisuel français, ayant animé plusieurs émissions de télévision et de radio.

Enfance, formation et débuts

Hala Léa Salamé naît le 27 octobre 1979 à Beyrouth. Son père, Ghassan Salamé, est ancien ministre libanais de la Culture, politologue et professeur à Sciences Po Paris et ancien conseiller spécial du secrétaire général de l’ONU Kofi Annan ; sa mère, Mary Boghossian, d’origine arménienne, est la sœur des diamantaires Jean et Albert Boghossian. Hala Salamé quitte le Liban pour Paris avec sa famille à l’âge de 5 ans pour fuir la guerre du Liban. Elle est naturalisée française à 10 ans. Sa sœur cadette Louma dirige la Fondation Boghossian-Villa Empain à Bruxelles.

French journalistHala Léa Salamé, known as Léa Salamé (born 27 October 1979), is a Lebanese-born French journalist.

Early life

Hala Léa Salamé is the daughter of Ghassan Salamé, former Lebanese Minister of Culture and former special advisor to UN Secretary-General Kofi Annan; her mother, Mary Boghossian, of Armenian descent, is the sister of diamond dealers Jean and Albert Boghossian. She escaped war in Lebanon with her family, settled in Paris at age 5 and obtained French nationality at age 11. Léa Salamé studied law at Panthéon-Assas University and Sciences Po. She spent a year at New York University, where she was injured in the September 11 attacks.

Les dernières infos sur Léa Salamé Léa Salamé n’est pas son vrai nom

Hala Salamé, de son vrai nom, naît à Beyrouth, au Liban, en 1979. Elle est la fille de Ghassan Salamé, ex-ministre de la Culture du Liban et ancien conseiller spécial du secrétaire de l’ONU Kofi Annan, et de Mary Boghossian, née dans une famille de bijoutiers arméniens.

Elle est un visage phare du petit écran. Et pour cause, ces dernières années, Léa Salamé a enchaîné les projets et relevé de nombreux challenges. Depuis 2017, elle co-anime avec Nicolas Demorand la matinale de France inter. En parallèle de la radio, elle a également fait ses preuves à la télévision. Après avoir passé deux saisons au côté de Laurent Ruquier dans sa célèbre émission On n’est pas couché, la native de Beyrouth n’en finit plus de multiplier les projets. De Stupéfiant ! à On est en direct, et désormais Quelle époque !, la journaliste de 43 ans a su se faire une place de choix au sein du paysage audiovisuel français. Les dirigeants du groupe France Télévisions lui ont d’ailleurs confié la présentation de plusieurs émissions spéciales portant sur la politique, l’environnement ou encore la santé.

Léa Salamé n’aime pas vraiment parler d’elle, de son histoire familiale et de son enfance. Mais sur le plateau de Quelle époque ! samedi 14 janvier 2023, la journaliste a fait une entorse à sa discrétion, alors qu’elle recevait Daniel Cohn-Bendit. Venu présenter son livre, Français mais pas Gaulois – Des étrangers qui ont fait la France, l’ancien leader de Mai 1968 a fait bondir Léa Salamé lorsqu’il a évoqué « l’identité française » qui, lorsque l’on parle d’elle, « nie des centaines de milliers de personnes qui ont une autre interprétation ». « Si, il y a une identité française », a tout de suite réagi la compagne de Raphaël Glucksmann, qui s’est dite « fière de [s]es origines » libanaises. « Vous parlez de moi, vous voulez parler de moi, mais moi j’en suis fière, a-t-elle ajouté. Je lui dois énormément à la France, elle m’a accueille. » Née au Liban le 27 octobre 1979 en pleine guerre civile, Léa Salamé a vécu une enfance compliquée, comme elle le confiait avec beaucoup de pudeur dans les colonnes du Pèlerin le 14 octobre 2020. « Je dormais dans la baignoire de la salle de bains car c’était le seul lieu sans fenêtres… », se souvenait la journaliste. Avec son père politologue et sa mère issue d’une famille de bijoutier, elle a quitté le pays en 1974 « lors de l’invasion israélienne » : « entre 5 et 11 ans, j’ai fait des allers-retours entre la France et le Liban, priant tous les soirs devant mon pays en flammes pour que mes grands-parents ne meurent pas ».

À la radio, depuis 2014, Léa Salamé mène des interviews dans Le 7/9 (devenu Le 7/10 depuis septembre 2023) sur France Inter. En 2017, elle devient la co-animatrice de cette tranche d’informations, en compagnie de Nicolas Demorand.

Biographie de Léa Salamé

Léa Salamé est une journaliste franco-libanaise originaire de Beyrouth. Grâce à ses origines et son métier, elle parle l’arabe, le français et l’anglais. A l’âge de cinq ans, elle quitte le Liban pour Paris, avec sa famille, pour fuir la guerre. Après des études de droit à Sciences Po et une année à l’Université de New York, Léa Salamé entre comme stagiaire au LCP AN/Public Sénat où elle commencera sa carrière d’animatrice avec l’émission Paroles du monde aux côtés de Jean-Pierre Elkabbach. Léa Salamé travaille ensuite pour la chaîne d’information internationale France 24. Elle y présente l’émission « La Soirée » en direct, mais aussi « Une semaine aux Amériques », qui est un magazine consacré à l’actualité américaine. Fin 2010, Léa Salamé quitte la chaîne France 24 pour iTélé. A partir de septembre 2011, elle reprend la présentation de la tranche entre 17h et 20h avec Marc Fauvelle. A la rentrée 2013, Léa Salamé présente l’émission de débat « Ça se dispute » et « On ne va pas se mentir » (diffusée du lundi au jeudi de 21h15 à 22h). A partir de septembre 2014, la journaliste rejoindra l’équipe de RTL et fera partie des chroniqueurs de l’émission On n’est pas couché sur France 2 aux côtés d’Aymeric Caron.

Léa Salamé est une journaliste franco-libanaise d’origine arménienne née le 27 octobre 1979 à Beyrouth. Son père, Ghassan Salamé, est l’ancien ministre de la Culture du Liban et professeur à Sciences Po Paris. A l’âge de 5 ans, Léa et sa famille quittent le Liban en guerre pour s’installer en France. Issue d’une famille cultivée et aisée, Léa Salamé suit la voie de son père et sort diplômée de l’université Panthéon-Assas puis Sciences Po Paris en 2002.

Un prénom longtemps vécu comme une souffrance… Dans une interview accordée à Konbini, Léa Salamé a expliqué pourquoi elle avait fini par changer son prénom, qui lui attirait remarques et moqueries au collège. D’origine libanaise par son père et arménienne par sa mère, elle a quitté le Liban, déchiré par la guerre civile, au début des années 1980 pour trouver refuge en France. Et elle a commencé sa scolarité avec le regard hostile ou moqueur des autres élèves, notamment en raison de son premier prénom de l’époque, Hala, mis devant Léa.

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