Qui a écrit anna karina ?

L’essentiel et les points à retenir :

  • Anna Karina a écrit, produit et réalisé le film « Vivre ensemble » en 1973, dans lequel elle a également joué.
  • Elle a remporté l’Ours d’argent de la meilleure actrice au 11e Festival international du film de Berlin pour son rôle dans « Une femme est une femme » en 1961.
  • Elle a joué dans huit films dirigés par Jean-Luc Godard, dont « Vivre sa vie » (1962), « Bande à part » (1964), « Pierrot le Fou » et « Alphaville » (tous deux en 1965).
  • Elle a été décrite comme la muse de Godard, bien qu’elle n’ait pas objecté à cette description et a exprimé sa gratitude envers Jean-Luc Godard pour lui avoir offert ces rôles.
  • Anna Karina a été engagée pour son premier long-métrage par Michel Deville après une projection privée du film « Le Petit Soldat » en 1960.
  • Son énergie communicative a séduit Jean-Luc Godard, qui lui a offert le rôle-titre dans l’un de ses films après avoir vu les rushes d’un film dans lequel elle jouait.

En 1973, Anna Karina fait ses débuts de réalisatrice avec Vivre ensemble, qu’elle écrit, produit, et dans lequel elle joue également, donnant son premier rôle à l’animateur radio Michel Lancelot. Le film est présenté au Festival de Cannes dans le cadre de la Semaine de la critique.

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En 1973, Anna Karina fait ses débuts de réalisatrice avec Vivre ensemble, qu'elle écrit, produit, et dans lequel elle joue également, donnant son premier rôle à l'animateur radio Michel Lancelot. Le film est présenté au Festival de Cannes dans le cadre de la Semaine de la critique.

As Angela in A Woman Is a Woman (Une femme est une femme, 1961), Karina’s role was as an unattached striptease dancer who nevertheless wishes to have a child and daydreams about appearing in MGM musicals. Her school-girl costume emulated Leslie Caron in Gigi (1958), worn even while performing her act. Karina won the Silver Bear for Best Actress at the 11th Berlin International Film Festival for her performance. In all, Karina appeared in eight films directed by Godard, including My Life to Live (Vivre sa vie, 1962), Band of Outsiders (Bande à part, 1964) Pierrot le Fou and Alphaville (both 1965). In Pierrot le Fou, Karina’s character is on the run with her ex-boyfriend, while in Alphaville, a science-fiction film often equated to Bladerunner, Karina’s role requires her to have difficulty saying the phrase « I love you. » The last film in the sequence was Made in USA (1966). Anne Billson, in an article querying the concept of the female muse, wrote that Godard in his films with Karina « seems to have trouble conceiving that the female experience revolves around anything other than prostitution, duplicity, or wanting babies. » Karina herself did not object to being described as Godard’s muse: « Maybe it’s too much, it sounds so pompous. But of course I’m always very touched to hear people say that. Because Jean-Luc gave me a gift to play all of those parts. »

Anna Karina avec Jean-Luc Godard RDB/ Ullstein Bild/ Getty Images À la suite d’une projection privée du Petit Soldat (1960, sorti en 1963), Michel Deville engage l’actrice débutante pour son premier long-métrage, Ce soir ou jamais. En découvrant les rushes de ce film, Godard, séduit par l’énergie communicative de sa compagne, lui offre le rôle-titre d’Une femme est une femme (1961), une comédie musicale, genre adulé par Anna Karina. Elle y incarne Angela, une jeune femme qui veut un enfant à tout prix. Peu avant la fin du tournage, en décembre 1960, elle annonce à Godard qu’elle est enceinte.

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Anna Karina, au Festival international du film de Pusan, en Corée du Sud, en 2008. KIM JAE-HWAN / AFP

« Tu me parles avec des mots, moi je te regarde avec des sentiments », disait-elle du bout des lèvres et de ses grands yeux tristes à Jean-Paul Belmondo, dans Pierrot le Fou. L’actrice Anna Karina, éternelle muse de Jean-Luc Godard, est morte, samedi 14 décembre à Paris, des suites d’un cancer, a annoncé dimanche son agent à l’Agence France-Presse (AFP).

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Anna Karénine a été écrit par l’écrivain russe Lev Nikolaïevitch, comte Tolstoï, plus connu sous le nom de Léon Tolstoï (1828-1910). Il est issu d’une famille russe noble et donc pour lui l’écriture n’a pas de dimension alimentaire comme cela a pu être le cas pour d’autres écrivains russes de cette époque (notamment Dostoïevski). Il connait donc bien les sphères privilégiées de la société russe et Guerre et Paix (1865-1869) et Anna Karénine, pour ne citer qu’eux, ont pour protagonistes principaux des aristocrates. Léon Tostoï ne fait pas exception à la tendance de la littérature classique russe à être disons…pessimiste/nihiliste/sombre.

Anna Karina chanteuse – article « Nostalgie de l’été » de septembre 2009 de Malthide Gérard du Monde. Anna Karina, ce sont des yeux d’un bleu profond, des pommettes rieuses, un minois à faire craquer toute la nouvelle vague. Pas étonnnant dès lors qu’elle attire l’attention de Serge Gainsbourg, l’homme à tête de chou qui fait chanter les actrices. Pour le compte de la comédie musicale Anna, réalisée par Pierre Koralnik, Serge Gainsbourg écrit en 1965 un tube à la muse de Jean-Luc Godard. L’intrigue d’Anna ? Plus grand monde ne s’en souvient. Une histoire de riche et talentueux publicitaire qui tombe amoureux du regard d’une femme, dans le laboratoire photo de son agence. Cette comédie musicale — tournée en couleurs pour la télévision à une époque où la France ne comptait que 6,5 millions de téléviseurs… tous en noir et blanc — ne fera pas date en tant que téléfilm. Mais elle aura au moins lancé la gloire d’une chanson. « Sous le soleil exactement » est un tube tout en élans et en pauses, qui donne envie de gambader dans les prés en chapeau de paille et robe en crochet. La mélodie et les textes, mi-sensuels, mi-candides, collent parfaitement à la peau de leur interprète. Enfant, la jeune Danoise rêvait de devenir aventurière, « voyager en roulotte avec des chevaux et se donner en spectacle sur les places publiques ». A défaut de roulotte, l’égérie et épouse de Jean-Luc Godard, arrivée à Paris à l’âge de 17 ans, aura droit aux honneurs des caméras de la nouvelle vague, pour lesquels elle n’hésite pas à pousser la chansonnette (on la voit fredonner chez Jacques Rivette, Agnès Varda ou encore Roger Vadim). Elle a beau se défendre, au micro de Serge Gainsbourg, de ne pas « être une chanteuse », sa pudeur (feinte ou sincère) ne masque pas son goût du chant. D’ailleurs, la jolie brune se moque des conventions. Elle tourne des films publicitaires à la fois pour la marque Monsavon et pour son concurrent Palmolive. Mais cette actrice qui mène sa carrière avec plus de fermeté que ne le laisse penser sa candeur sait toujours exactement où elle est : « Sous le soleil, pas à côté, juste en dessous ». Mathilde Gérard

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Britannica, The Editors of Encyclopaedia. « Anna Karina ». Encyclopedia Britannica, 18 Mar. 2024, https://www.britannica.com/biography/Anna-Karina. Accessed 18 April 2024.

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Now I wake up this morning to the news that Karina has passed away in Paris from cancer at the age of 79. Although the particulars of her death were perhaps not that shocking, to read the words that she was gone still came like a punch to the gut. Not only was she one of my favorite actresses of all time—I got to interview her once and it remains one of the highlights of my professional career—she was and will no doubt remain one of the true icons of French cinema. Although filmmakers like Godard and Francois Truffaut were the minds behind the famous Nouvelle Vague cinema movement, it could be argued that Karina gave it both the face, thanks to her mesmerizing beauty, and its heart, thanks to her equally stunning talents as an actress. And while she will always be recognized most for her films with Godard, she would go on to have a long and varied career that would find her working for a number of famed directors and even saw her writing and directing two films of her own, “Vivre Ensemble” (1973) and “Victoria” (2008) which would prove to be her last film. In addition, she recorded a couple of albums, scoring a hit with the Serge Gainsbourg songs “Sous le soleil excitement” and “Roller Girl,” and wrote four novels; “Vivre Ensemble” (1973), “Golden City” (1983), “On n’achete pas le soleil” (1988) and “Jusqu’au bout du hazard” (1998).

En 1958, Coco Chanel la baptise Anna Karina puis elle rencontre Jean-Luc Godard; en 1967, Serge Gainsbourg lui écrit Anna, une comédie musicale – dont le fameux titre Sous le soleil exactement… – ; elle réalise son premier film Vivre ensemble en 1973 et sort en 2000 son premier album avec Philippe Katerine, suivi d’une tournée mondiale. En 2018, parait l’album Je suis une aventurière… : quelques dates-clés d’une vie intense…

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Anna Karina, artiste plurielle

Anna Karina dans Pierrot le fou de Jean-Luc Godard Les Productions Georges de Beauregard – Rome-Paris Films – Société Nouvelle de Cinématographie (SNC) – Dino De Laurentiis Cinematografica – T.C.D Icône de la Nouvelle Vague et comédienne fétiche de Jean-Luc Godard à ses débuts, Anna Karina était une artiste plurielle : actrice, chanteuse, auteure, réalisatrice… Elle vient de décéder à l’âge de 79 ans. Hommage.

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