Qui est la vraie danseuse dans flashdance ?

L’essentiel et les points à retenir :

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  • Marine Jahan est la vraie danseuse dans Flashdance, doublant Jennifer Beals pour la quasi-totalité des scènes de danse.
  • Le recours à une doublure pour les scènes de danse de Jennifer Beals dans Flashdance a suscité une controverse à l’époque de la sortie du film.
  • Le nom de Marine Jahan n’est pas mentionné au générique du film, les producteurs souhaitant préserver la magie du film.
  • Marine Jahan a réussi à intégrer la prestigieuse école de danse Roland Dupree School Academy et s’est installée aux États-Unis, où elle a poursuivi sa carrière de danseuse.
  • Elle a également participé à des shows télévisés et s’est produite sur la scène des Oscars en tant que danseuse.
  • Marine Jahan a continué sa carrière de danseuse après Flashdance, travaillant avec divers chorégraphes et réalisant des performances remarquées.

En 1981, elle devient la doublure de Jennifer Beals, l’héroïne de Flashdance, qui n’a pas les capacités pour effectuer les scènes de danse. Quelques jours après la sortie du film, le Los Angeles Times fait de l’information sa couverture. Même si le fait d’avoir recours à une doublure n’est pas vraiment une tromperie en soi, cette révélation fut à l’époque mal acceptée par l’opinion publique car les chorégraphies et les gros plans de certaines parties du corps de Jennifer Beals avaient marqué les esprits et probablement participé au succès du film. Une controverse d’autant plus marquée que le nom de Marine Jahan n’est pas mentionné au générique du film car selon elle, les producteurs ne voulaient pas « détruire la magie du film ». Aujourd’hui, il ne fait aucun doute que c’est bien Marine Jahan qui apparaît dans la quasi-totalité des scènes de danse (sauf dans la scène finale pour les scènes aériennes et la toupie exécutée par un danseur de breakdance).

En 1981, elle devient la doublure de Jennifer Beals, l'héroïne de Flashdance, qui n'a pas les capacités pour effectuer les scènes de danse. Quelques jours après la sortie du film, le Los Angeles Times fait de l'information sa couverture. Même si le fait d'avoir recours à une doublure n'est pas vraiment une tromperie en soi, cette révélation fut à l'époque mal acceptée par l'opinion publique car les chorégraphies et les gros plans de certaines parties du corps de Jennifer Beals avaient marqué les esprits et probablement participé au succès du film. Une controverse d'autant plus marquée que le nom de Marine Jahan n'est pas mentionné au générique du film car selon elle, les producteurs ne voulaient pas « détruire la magie du film ». Aujourd'hui, il ne fait aucun doute que c'est bien Marine Jahan qui apparaît dans la quasi-totalité des scènes de danse (sauf dans la scène finale pour les scènes aériennes et la toupie exécutée par un danseur de breakdance).

Comme Alex, l’héroïne de Flashdance, cette sportive réussit à intégrer une prestigieuse école de danse, la Roland Dupree School Academy, et s’installe définitivement outre-Atlantique. Elle fait ses armes en tant que danseuse sur des shows télé et se produit même sur la scène des Oscars, jusqu’à ce qu’un jour, un assistant chorégraphe avec lequel elle avait travaillé sur plusieurs émissions, se voie confier les rennes d’un film en tant que chorégraphe. Si l’actrice principale de ce long-métrage a été trouvée, celle-ci, Jennifer Beals, est loin d’avoir le niveau suffisant pour effectuer elle-même les scènes de danse.

Flashdance : un film culte rejeté par Brian de Palma

Il suffit d’entendre les premières notes de What a Feeling pour repenser à Jennifer Beals qui se balade à Pittsburgh et rêve de devenir danseuse d’opéra, lorsqu’elle ne fait pas de la soudure dans une usine ou qu’elle danse dans un cabaret. Flashdance (1983) est de ces films cultes des années 1980 donc chaque élément est resté ancré dans les mémoires. Le visage de Jennifer Beals, la musique de Giorgio Moroder, les scènes de danse… Tout est mémorable. Pourtant, le film aurait pu être bien différent, et son succès ne semblait pas acquis par Paramount Pictures.

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Flashdance : un film culte rejeté par Brian de Palma Il suffit d'entendre les premières notes de What a Feeling pour repenser à Jennifer Beals qui se balade à Pittsburgh et rêve de devenir danseuse d'opéra, lorsqu'elle ne fait pas de la soudure dans une usine ou qu'elle danse dans un cabaret. Flashdance (1983) est de ces films cultes des années 1980 donc chaque élément est resté ancré dans les mémoires. Le visage de Jennifer Beals, la musique de Giorgio Moroder, les scènes de danse... Tout est mémorable. Pourtant, le film aurait pu être bien différent, et son succès ne semblait pas acquis par Paramount Pictures.Eka Kharlov (en noir) incarne l’héroïne Alex Owens, qui rêve de vivre de sa passion : la danse. Mikaëla Samuel/Le Figaro

1983 : la jolie Alexandra Owens, soudeuse le jour, danseuse de cabaret la nuit, rêve d’enfiler les demi-pointes et d’entrer dans une école de ballet. Ses danses animales, ses justaucorps et ses jambières en tricot font rêver nombre d’adolescentes. Flashdance, le film d’Adrian Lyne, est un immense succès avec 4 millions d’entrées. Les adolescentes ont aujourd’hui grandi et nombre d’entre elles se pressaient, jeudi, à la première de la comédie musicale au Casino de Paris, trépignant à l’idée de revoir la mythique scène d’audition, rythmée par le tube What a feeling! d’Irene Cara.

Flashdance (Chérie 25) : la vraie star du film n’est pas Jennifer Beals… mais sa doublure ! (VIDEO)

Jeudi 02 juin 2016 à 19:00 – par Gwenola Trouillard Tweeter Partager sur Facebook A l’occasion de la diffusion de Flashdance ce soir sur Chérie 25 à 20h55, retour sur la vraie star du film, Marine Jahan qui a doublé Jennifer Beals dans les scènes de danse.La suite sous cette publicité

A deux reprises, Adrian Lyne a formulé un refus poli. Du scénario inspiré de faits réels, mettant en scène des jeunes filles d’une école de mode finançant leurs études en se produisant dans des boîtes de strip-tease de Toronto, au Canada, le réalisateur britannique n’a retenu que le titre, Flashdance. L’histoire, non. Trop stupide. Le titre, en revanche, est magique. Adrian Lyne ignore ce qu’il signifie exactement. Peu importe. De toute façon, c’est non. Mais ce titre fait rêver tout le monde.

Liste des titres

  1. Flashdance… What a Feeling, interprété par Irene Cara (3:53) (Giorgio Moroder, Keith Forsey et Irene Cara)
  2. He’s a Dream, interprété par Shandi (3:28) (Shandi Sinnamon et Ronald Magness)
  3. Love Theme from Flashdance, interprété par Helen St. John (3:27) (Giorgio Moroder)
  4. Manhunt, interprété par Karen Kamon (2:36) (Doug Cotler et Richard Gilbert)
  5. Lady, Lady, Lady, interprété par Joe Esposito (4:09) (Giorgio Moroder et Keith Forsey)
  6. Imagination, interprété par Laura Branigan (3:35) (Michael Boddicker, Jerry Hey, Phil Ramone et Michael Sembello)
  7. Romeo, interprété par Donna Summer (3:13) (Pete Bellotte et Sylvester Levay)
  8. Seduce Me Tonight, interprété par Cycle V (3:31) (Giorgio Moroder et Keith Forsey)
  9. I’ll Be Here Where the Heart Is, interprété par Kim Carnes (4:36) (Kim Carnes, Duane Hitchings et Craig Krampf)
  10. Maniac, interprété par Michael Sembello (4:04) (Michael Sembello et Dennis Matkosky)

Retour sur la scène de l’audition de Flashdance, avant de le revoir ce soir sur TF1 Séries Films. Souvent imitée mais jamais égalée, la scène de fin de Flashdance a profondément marqué son époque. Et pour cause, tout y est culte : du maillot échancré aux guêtres noires de Jennifer Beals en passant par l’entêtant « What a Feeling » d’Irene Cara. Mais ce qui a bien évidemment le plus marqué les esprits, c’est l’incroyable performance d’Alex Owens, le personnage interprété par l’actrice qui s’est ensuite fait remarquer dans l’excellente série The L Word. Une chorégraphie moderne et ultra-dynamique, mélangeant danse classique, hip hop et même quelques pas de breakdance.

Le sweat que porte Alex dans le film ainsi que sur l’affiche est né d’un mauvais lavage. Le vêtement avait rétrécit et Jennifer Beals a coupé le haut pour élargir l’encolure. Le réalisateur et le responsable des costumes ont apprécié le résultat.Pour les scènes de danse, Jennifer Beals est doublée par la danseuse française Marine Jahan tandis que les sauts dans l’audition finale sont réalisés par la gymnaste Sharon Shapiro et le breakdance par Crazy Legs.Le tournage s’est déroulé du 18 octobre au 30 décembre 1982 en Pennsylvanie et Californie.

Notre critique de Flashdance.

Pauvreté, passion, danse et amour, pas très original mais on peut avoir de bonnes surprises.

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