Où Est Mort Patrick Edlinger

L’essentiel et les points à retenir :

  • Patrick Edlinger est décédé à son domicile dans les Alpes-de-Haute-Provence, dans le Verdon.
  • Il est mort à l’âge de 52 ans après être tombé dans les escaliers de sa maison.
  • Les falaises du Verdon sont orphelines de ce célèbre grimpeur, icône mondiale de l’escalade.
  • Patrick Edlinger était connu comme l’ange Blond et était une figure emblématique de l’escalade libre.
  • Il a révolutionné l’escalade et était une personnalité préférée des Français dans les années 1980.
  • Il laisse derrière lui sa femme, Maťa, et leur fille Nastia, âgée de 10 ans au moment de son décès.

Décès de Patrick Edlinger : « Les falaises du Verdon sont orphelines …il y a 2 jours … Le grimpeur Patrick Edlinger, décédé vendredi à son domicile dans les Alpes-de- Haute-Provence, avait « révolutio…Patrick Edlinger. Il vivait l'escalade comme une liberté – Paris Matchil y a 2 jours … Le grimpeur Patrick Edlinger a été retrouvé mort chez lui dans le Verdon. Il été âgé 52 ans.Patrick Edlinger, mains nues ciao – Libérationil y a 1 jour … Le médiatique grimpeur, héraut de l'escalade libre, est mort vendredi à 52 ans.

Décès de Patrick Edlinger : "Les falaises du Verdon sont orphelines ...il y a 2 jours ... Le grimpeur Patrick Edlinger, décédé vendredi à son domicile dans les Alpes-de- Haute-Provence, avait "révolutio...Patrick Edlinger. Il vivait l'escalade comme une liberté - Paris Matchil y a 2 jours ... Le grimpeur Patrick Edlinger a été retrouvé mort chez lui dans le Verdon. Il été âgé 52 ans.Patrick Edlinger, mains nues ciao - Libérationil y a 1 jour ... Le médiatique grimpeur, héraut de l'escalade libre, est mort vendredi à 52 ans.De 1986 à 1995 : confrontation en compétitions et augmentation du haut niveau modifier

Véritable star en France[8], Patrick Edlinger est, dans les années 1980, la personnalité préférée des Français selon un sondage du magazine Paris Match[9][source insuffisante], qui relaie ses exploits[10]. Il est néanmoins contesté dans son statut de meilleur grimpeur du moment, notamment par le « gang des Parisiens » (les frères Le Ménestrel et Jean-Baptiste Tribout). Lorsque le Manifeste des 19 décriant la compétition est écrit en 1985, il ne le signe pas. En 1986, il gagne l’une des premières compétitions internationales d’escalade à Bardonèche. À cette époque, il lance sa propre ligne de vêtement qu’il tient avec quelques amis[2].

Icône mondiale de l’escalade, depuis la sortie en 1982 du célèbre film de Jean-Paul Janssen, La Vie au bout des Doigts, le grimpeur surnommé l’ange Blond, Patrick Edlinger, est mort vendredi 16 novembre dernier, dans le Verdon.

Edlinger died at age 52 after falling down stairs at his home. He is survived by his wife, Maťa, and their daughter, Nastia, who was 10 years old at the time. The French minister of sports and youth, Valérie Fourneyron, said of Edlinger, « Patrick was a pioneer in France for free climbing at a high level, a man who had a thirst for the absolute challenge. He refused to compromise and disdained conventions. He dedicated his life to his passion – climbing. He was the first to establish climbing as a true discipline of live art, paving the way for many to climb with respect for nature. »[2][3][9][10][11][12][13][14][15]

Dans la bouche de Patrick Edlinger, le Blond, qui venait d’apprendre la disparition de son « compagnon des jours sublimes » comme il disait, Patrick Berhault, le Brun, ses mots prirent une connotation presque prémonitoire en ce 16 novembre 2012.

« Patrick est mort connement en glissant. Peut-être que nous mourrons tous connement ! ».

Il y a 10 ans, jour pour jour, l’iconique star de la grimpe, l’homme aux 100 solos, l’inventeur de l’escalade moderne, Patrick Edlinger venait de mourir, en tombant… connement… dans ses escaliers…

Patrick Edlinger avait abandonné le haut niveau en 1995 après une grave chute de falaise et s’était retiré à la Palud-sur-Verdon, dans les Alpes de Hautes-Provence, où il avait ouvert un gîte. « La passion ne l’avait jamais quitté. Il continuait de grimper et envisageait de faire un tour du monde », souligne son ami.Il continuait à pratiquer l’escalade chaque jour. « Je suis un homme libre, je ne regrette rien de mon parcours », avait-il dit au quotidien Le Dauphiné Libéré, alors qu’il devait participer, jeudi, aux Rencontres du cinéma de montagne à Grenoble.DÉPASSEMENT DE SOI

Le grimpeur Patrick Edlinger décédé vendredi à son domicile dans les Alpes-de-Haute-Provence avait « révolutionné sa discipline » et rendu populaire un sport jusqu’ici confidentiel, témoigne son biographe Jean-Michel Asselin, alors que les hommages se multiplient sur les réseaux sociaux. « Patrick a révolutionné l’escalade sur le plan mondial en rendant populaire un sport qui était alors extrêmement confidentiel », loue Jean-Michel Asselin, ami depuis 25 ans de Patrick Edlinger dont il a écrit une biographie qui devait sortir dans quelques mois. Patrick Edlinger qui avait effectué à mains nues et parfois même sans être assuré plusieurs ascensions dans les Gorges du Verdon au début des années 80, fut l’un des pionniers de « l’escalade libre » de haut niveau.

C’était en 1982, dans le Verdon. Un fou de grimpe tente alors à mains nues un solo intégral sur une voie très relevée des gorges. Ce jour-là, Patrick Edlinger fait passer l’ »escalade libre » de l’ombre à la lumière. Sa prouesse et les suivantes seront diffusées dans le monde entier. Nom du documentaire : La Vie au bout des doigts. Trente ans plus tard, « le Blond », père d’une fillette de 10 ans, a été retrouvé mort vendredi à son domicile, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Celui qui avait donné le goût de l’escalade à des milliers de pratiquants a mis fin à sa carrière de haut niveau en 1995, après un grave accident en falaise dans les calanques de Cassis. Ce qui ne l’empêchait pas de continuer la grimpe près du gîte qu’il avait ouvert à La Palud-sur-Verdon. « Je suis un homme libre, je ne regrette rien de mon parcours », avait-il récemment confié au Dauphiné libéré. Selon un proche, il luttait depuis quelque temps contre l’alcool. « C’est le combat le plus dur que j’aie jamais mené, comme un solo impossible, mais je vais m’en sortir », aurait-il dit à son biographe. Jean-Michel Asselin lui écrit une dernière lettre. Un hommage.

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