Qui est la plus jeune danseuse étoile ?

L’essentiel et les points à retenir :

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  • Pour devenir danseur étoile, il faut commencer l’apprentissage de la danse très jeune, généralement avant l’âge de 10 ans.
  • Il est recommandé d’intégrer une école de danse prestigieuse pour atteindre les meilleurs niveaux dans le ballet classique.
  • L’acceptation au sein d’une compagnie de ballet et la progression à travers les échelons sont des étapes essentielles pour devenir danseur étoile.
  • Bleuenn Battistoni, une jeune danseuse étoile, a commencé les pointes à l’âge de 11 ans et a intensifié son entraînement en enchaînant les stages d’été.
  • La passion pour la danse peut conduire à des opportunités de se produire dans des rôles prestigieux, comme celui de Giselle, pour les jeunes danseurs talentueux.

Pour devenir danseur étoile, il faut apprendre la danse très jeune, généralement avant 10 ans (sauf pour les garçons qui commencent parfois plus tard que les filles). Après l’apprentissage des bases du classique, il est recommandé d’intégrer une école de danse prestigieuse, afin d’atteindre les meilleurs niveaux. Parfois cela passe par des concours internationaux, des stages ou des auditions.Pour en savoir plus, lisez comment devenir danseuse étoile.A ce sujet : liste des stages de danse classique à Paris – audition pour un stage à l’Opéra de Paris.Il faut ensuite être accepté au sein d’une compagnie de ballet, puis gravir tous les échelons.

Pour devenir danseur étoile, il faut apprendre la danse très jeune, généralement avant 10 ans (sauf pour les garçons qui commencent parfois plus tard que les filles). Après l’apprentissage des bases du classique, il est recommandé d’intégrer une école de danse prestigieuse, afin d’atteindre les meilleurs niveaux. Parfois cela passe par des concours internationaux, des stages ou des auditions.Pour en savoir plus, lisez comment devenir danseuse étoile.A ce sujet : liste des stages de danse classique à Paris – audition pour un stage à l’Opéra de Paris.Il faut ensuite être accepté au sein d’une compagnie de ballet, puis gravir tous les échelons.

La famille Battistoni, installée dans la banlieue de Lyon, ne compte pas d’artiste. Sa mère travaille dans la recherche, son père est ingénieur. Autant dire qu’une carrière de danseuse semble peu envisageable. Bleuenn est plutôt une élève modèle, littéraire et introvertie. Elle se rêve écrivaine mais la danse est maintenant devenue une passion dont elle ne peut plus se défaire. Surtout qu’à 11 ans, la jeune fille commence les pointes. « Là seulement, j’ai compris que j’avais quelques facilités. » Son entraînement s’intensifie. Elle enchaîne les stages l’été et s’abreuve de vidéos sur Youtube, jusqu’à connaître par coeur chaque détail de La dame au Camélia avec Agnès Letestu et Stéphane Bullion ou une version du Lac des Cygnes avec José Martinez (son actuel patron).

« Bleuenn Battistoni se produira à nouveau dans ce rôle, avec comme partenaire Marcelino Sambé [artiste invité du Royal Ballet de Londres], le dimanche 31 mars à 19 h 30. Elle dansera ensuite le rôle-titre de Giselle (d’après Jean Coralli et Jules Perrot) les 29 avril (avant-première jeunes de moins de 28 ans), les 4, 14 et 16 mai au Palais Garnier », ajoute l’Opéra.

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Première danseuse depuis 2023

Née en 1999 à Lyon, Bleuenn Battistoni, qui danse dans le ballet de l’Opéra de Paris depuis sept ans, avait été promue première danseuse en 2023.

« Bleuenn Battistoni se produira à nouveau dans ce rôle, avec comme partenaire Marcelino Sambé [artiste invité du Royal Ballet de Londres], le dimanche 31 mars à 19 h 30. Elle dansera ensuite le rôle-titre de Giselle (d’après Jean Coralli et Jules Perrot) les 29 avril (avant-première jeunes de moins de 28 ans), les 4, 14 et 16 mai au Palais Garnier », ajoute l’Opéra. Première danseuse depuis 2023 Née en 1999 à Lyon, Bleuenn Battistoni, qui danse dans le ballet de l’Opéra de Paris depuis sept ans, avait été promue première danseuse en 2023.

Née en 1999 à Lyon, Bleuenn Battistoni est danseuse dans le ballet de l’Opéra de Paris depuis sept ans et a été promue première danseuse en 2023. Elle a été initiée à la danse à l’âge de quatre ans dans sa région natale avant d’entamer une formation au conservatoire national supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP), puis à partir de 2014 à l’École de Danse de l’Opéra national de Paris où elle a été engagée en 2017 dans le Corps de Ballet de l’Opéra.

Sur son très beau site www.ludmila-tcherina.com, Maurice Béjart la résume toute entière, lovée dans une répétition de Salomé, en 1972: «Allier la danse à l’immobilité, Tcherina est là, et sait ralentir un mouvement jusqu’à la limite du faisable, comme au cinéma, mais sans trucage. Sensible et acharnée… Un talent fou… Je la regarde blême sous le maquillage… Au fond un manque de confiance en elle, un doute, une femme qui se regarde et se critique. Une danseuse… véritable!»

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Bleuenn Battistoni est Lise dans « La Fille mal gardée », de Frederick Ashton, à l’Opéra Garnier, à Paris, le 24 mars 2024. BENOÎTE FANTON/ONP

Bleuenn Battistoni a sauté tous les obstacles du ballet La Fille mal gardée, de Frederick Ashton. Elle a baratté le beurre, joué les paquets cadeaux, enrubannée de rose, tenté de saouler sa mère, Simone, pour rejoindre son amoureux Colas… Bref, elle s’est amusée à sourire des difficultés techniques d’un spectacle plus complexe qu’il n’en a l’air pour faire rire le public. Et elle a décroché le gros lot. Mardi 26 mars, à l’issue de la représentation, au Palais Garnier, Bleuenn Battistoni, 25 ans, a été nommée étoile de l’Opéra national de Paris dans le rôle de Lise par Alexander Neef, directeur de la maison, sur proposition du directeur de la danse, José Martinez. Elle devient ainsi la dixième star féminine de l’institution parisienne – Myriam Ould-Braham avait également été sacrée étoile sur sa prestation dans La Fille mal gardée, en 2012.

Incroyable Kitri dans Don Quichotte de Rudolf Noureev, Valentine Colasante était nommée Étoile de l’Opéra de Paris à l’issue de ce même ballet, en 2018. Artiste complète, elle évolue depuis son plus jeune âge dans le milieu créatif et intègre l’École de danse de l’Opéra de Paris en 1998 le temps d’une formation de huit ans, avant de gravir tous les échelons du corps de ballet. Aujourd’hui, Valentine Colasante a fait de son large répertoire l’une de ses forces, brillant aussi bien lors de ballets classiques à l’instar de La Bayadère, du Lac des Cygnes ou encore de Roméo et Juliette ou Giselle, comme aux côtés de chorégraphes contemporains, William Forsythe, Mats Ek, Sol Leon, Paul Lightfoot, Benjamin Millepied, entre autres. En tête d’affiche du ballet Don Quichotte à l’Opéra Bastille, où elle campe une nouvelle fois le rôle de Kitri, aux côtés de Paul Marque, qui incarne Basilio, Valentine Colasante assurera une dernière représentation ce vendredi 24 décembre. Une belle manière de (re)découvrir l’Étoile dans ce rôle qui a marqué sa carrière mais aussi l’occasion pour Vogue de se glisser en backstage et de lui poser quelques questions.

Le 11 mars 2023, Guillaume Diop est nommé danseur étoile de l’Opéra de Paris par José Martínez sur délégation d’Alexander Neef, à l’issue de la représentation de Giselle de Jean Coralli et Jules Perrot au LG Arts Center de Séoul. Il devient ainsi le premier danseur étoile noir de l’Opéra de Paris. Comme Manuel Legris, Laurent Hilaire et Mathieu Ganio avant lui, Diop a été nommé danseur étoile sans même passer par le grade de premier danseur. En 2023, il est avec Dorothée Gilbert à l’affiche du ballet « Casse-Noisette », de Rudolf Noureev, à l’Opéra Bastille.

Prix

Ainsi lors de la danse dite « des négrillons » de La Bayadère, de Léon Minkus. Lorsqu’il était encore élève à l’école de l’Opéra, Paul Marque avait interprété cette chorégraphie en tenue académique et maquillage marron. « C’était offensant et raciste. Aujourd’hui, les jeunes ont des costumes qui correspondent à la carnation de leur peau, et on parle de “danse des enfants”. On avance progressivement. » On aurait pu s’attendre à ce que le benjamin des étoiles de l’Opéra de Paris, qui a décroché le titre suprême à 23 ans seulement, flambe en déroulant les grands rôles du répertoire dans lesquels il a su s’imposer.

Ce qui frappe, lorsqu’on rencontre Amandine Albisson, est la grâce innée qu’elle exhale autant qu’une vraie force mentale et physique. Si elle se rêve danseuse depuis toute petite et considère l’Opéra Garnier comme sa deuxième maison, la jeune maman trouve son équilibre dans sa vie de famille, confie adorer les ferias et les plaisirs simples. Lumineuse dans le ballet In The Night de Jerome Robbins dont les représentations touchent à leur fin, on la retrouvera du 8 au 31 décembre dans Stepping Stones de Jiří Kylián, avant qu’elle ne s’envole pour le Japon en février 2024. Malgré cet emploi du temps cadencé, Amandine Albisson nous a accordé un entretien dans l’intimité feutrée de sa loge à l’Opéra Garnier.

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