L’essentiel et les points à retenir :
- Richard Anthony est décédé des suites d’un cancer du côlon.
- Il avait été opéré en 2010 à cause de cette maladie.
- Un événement banal aurait précipité la mort du chanteur en relançant son cancer du côlon.
- Richard Anthony était un chanteur iconique des sixties, ayant vendu plus de 50 millions de disques tout au long de sa carrière.
- Il est décédé à l’âge de 77 ans à Pégomas dans les Alpes-Maritimes.
- Richard Anthony était influencé par la pop anglophone et a adapté ce genre musical à des textes français.
De son vrai nom Richard Btesh, Richard Anthony est décédé des suites d’un cancer. La maladie avait déjà obligé les médecins à l’opérer en 2010.
Richard Anthony, chanteur iconique des sixties, s’est éteint il y a bientôt cinq ans. A l’occasion de cet anniversaire, sa compagne, Elisabeth, est revenue dans les colonnes d’Ici Paris sur les derniers mois de l’artiste, avant qu’un cancer ne l’emporte, le 20 avril 2015. Selon la femme qui a partagé sa vie pendant plus de 20 ans, un événement en particulier aurait précipité la mort du chanteur, en relançant le cancer du côlon contre lequel il se battait depuis 2010. Il s’agirait d’un incident, toutefois banal, mais qui a eu un impact considérable sur son mental.
Cet article date de plus de huit ans.
Décès du chanteur Richard Anthony, interprète de « J’entends siffler le train »
Il avait vendu plus de 50 millions de disques tout au long de sa carrière. Richard Anthony est décédé cette nuit à Pégomas dans les Alpes-Maritimes. Il avait 77 ans. Le chanteur était atteint d’un cancer. Publié le 20/04/2015 10:31 Mis à jour le 20/04/2015 16:19
Temps de lecture : 1 min (Richard Anthony en tournée en 2009 © MAXPPP)
La carrière de Richard Anthony, reportage de Yann Bertrand
De 1958 à la fin des années 1960 modifier
En 1958, influencé par la pop anglophone qu’il connaît bien (polyglotte parlant six langues)[a], Richard Anthony décide d’adapter ce nouveau genre musical à des textes français. C’est ainsi qu’il enregistre Tu m’étais destinée adaptation de You Are My Destiny de Paul Anka et Peggy Sue version française du succès de Buddy Holly et fait le tour des maisons de disques sans dire qu’il en est le chanteur. Il se décide ensuite à l’avouer devant l’enthousiasme des directeurs artistiques. Parmi eux, c’est Jacques Poisson alias Jacques Plait, futur producteur et directeur artistique de Joe Dassin, qui devient le premier à le faire signer dans une maison de disques, en l’occurrence le label Columbia (Pathé Marconi)[4]. Il prend alors comme nom d’artiste Richard Anthony, qui correspond à la réunion de ses deux prénoms de l’état civil, et sort en 1958 son premier super 45-tours Rock’n’Richard, contenant les deux titres, mais qui passe inaperçu[4],[5]. Son second 45 tours, intitulé La Rue des cœurs perdus, et publié en 1959[6], connaît le même destin.
Richard Anthony, décédé ce lundi à l’âge de 77 ans, restera à jamais l’interprète de «J’entends siffler le train». En cet été 1962, l’été de la fin de la guerre d’Algérie, cette ballade entêtante et mélancolique s’invite dans des millions de foyers. Pour les jeunes conscrits et leurs familles, cette chanson évoque le train qui les emmenait loin des leurs vers Marseille pour s’embarquer vers «la sale guerre».Richard Anthony connaissait depuis l’enfance cet air du folklore américain, «Five Hundred Miles» : «Ma mère, Anglaise, me chantait cette ballade», racontait-t-il.
« Je viens d’avoir sa compagne, elle m’a confirmé son décès », a déclaré à l’AFP Fabien Lecoeuvre, attaché de presse de la tournée d’anciennes vedettes populaires « Age tendre » à laquelle le chanteur avait participé à plusieurs reprises.Avec Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, Richard Anthony, de son vrai nom Richard Betsh, incarnait la génération yéyé, revenue en grâce il y a quelques années.En 2011, le chanteur avait été fait officier des Arts et Lettres, une distinction honorifique en France, et salué alors comme « le pionnier du rock américain en version française, grand rival de Johnny Hallyday ».
Richard Anthony tournée âge tendre et têtes de bois
Son véritable nom était Ricardo Btesh. Richard Anthony, idole de l’époque « yéyé » de la variété française s’était rendu célèbre par ses adaptations de nombreux succès anglo-saxons. Il était âgé de 77 ans.Né en 1938 au Caire, Richard Anthony enregistre ses premiers 45 tours à l’âge de 20 ans. Il s’agit alors de reprises de Paul Anka (« You are my destiny ») et de Buddy Holly (« Peggie Sue »). Le succès arrive en 1962 avec « Et j’entends siffler le train », son titre le plus connu. Historiquement, c’est pour cette chanson qu’on parle pour la première fois en France de « tube de l’été ».
Paris — Le chanteur français Richard Anthony, interprète du tube des années 1960 J’entends siffler le train, est décédé dans la nuit de dimanche à lundi d’un cancer, à 77 ans, selon l’un de ses proches.«Je viens d’avoir sa compagne, elle m’a confirmé son décès» , a déclaré à l’AFP Fabien Lecoeuvre, attaché de presse de la tournée d’anciennes vedettes populaires Âge tendre à laquelle le chanteur avait participé à plusieurs reprises.Avec Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, Richard Anthony, de son vrai nom Richard Betsh, incarnait la génération yéyé, revenue en grâce il y a quelques années.
Le chanteur Richard Anthony, interprète du titre « Et j’entends siffler le train … », est décédé cette nuit des suites d’une longue maladie à Pégomas, dans les Alpes-maritimes, a annoncé France 3. Le chanteur était atteint d’un cancer, a précisé Fabien Lecoeuvre, attaché de presse de la tournée « Age tendre » à laquelle avait participé à plusieurs reprises. Il est mort à l’âge de 77 ans.
Le chanteur star des yéyés Richard Anthony est décédé dans la nuit de ce lundi 20 avril, à son domicile de Pégomas (Alpes-Maritimes). Il avait 77 ans. Richard Anthony est l’une des plus grandes vedettes des années 1960, au cours desquelles il sort des dizaines de tubes, dont de nombreuses adaptations de succès américains : « Et j’entends siffler le train » (1962), « Itsy bitsy petit bikini » (1963), « C’est ma fête » (1963), « À présent tu peux t’en aller » (1964).