L’essentiel et les points à retenir :
- La phrase « Le roi est mort, vive le roi! » a été déclarée lors de l’accession au trône français de Charles VII après la mort de son père Charles VI en 1422.
- En France, la déclaration était traditionnellement faite par le duc d’Uzès, un pair senior de France, dès que le cercueil contenant la dépouille du roi précédent descendait dans la crypte de la basilique Saint-Denis à Paris.
- Cette phrase découle de la loi « le mort saisit le vif » selon laquelle le transfert de la souveraineté se produit instantanément au moment de la mort du monarque précédent.
- « Le roi est mort » annonce le décès d’un monarque, tandis que « Vive le roi! » fait référence à l’héritier qui succède immédiatement au trône à la mort du monarque précédent.
- L’origine de la mention « Vive le Roi » remonte à la Bible, dans le cri d’acclamation des juifs lorsque Saül est désigné roi d’Israël par Dieu et que Samuel l’annonce.
The original phrase was translated from the French: Le roi est mort, vive le roi!, which was first declared upon the accession to the French throne of Charles VII after the death of his father Charles VI in 1422.[7] In France the declaration was traditionally made by the Duke of Uzès, a senior peer of France, as soon as the coffin containing the remains of the previous king descended into the vault of the Basilica of Saint-Denis in northern Paris. The phrase arose from the law of le mort saisit le vif—that the transfer of sovereignty occurs instantaneously upon the moment of death of the previous monarch. « The King is dead » is the announcement of a monarch who has just died. « Long live The King! » refers to the heir who immediately succeeds to a throne upon the death of the preceding monarch.
L’origine de la mention « Vive le Roi » est plus ancienne. On la trouve en hébreu, dans la Bible (Samuel I, 10, 24). C’est le cri d’acclamation des juifs lorsque Saül est désigné roi d’Israël par Dieu et que Samuel l’annonce. En France, la déclaration était traditionnellement faite par le duc d’Uzès, premier pair de France[6], dès que le cercueil contenant la dépouille du roi précédent était descendu dans la crypte de la basilique Saint-Denis.
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Where Does « The King Is Dead, Long Live the King » Come From?
The origin of this idiom can be traced back to medieval Europe, particularly France. It was originally spoken in French as « Le roi est mort, vive le roi! » during the 15th century. The phrase was commonly used during the transition of power from one French monarch to another.
Historical Examples:
One of the earliest recorded instances of this phrase dates back to the year 1422 when Charles VI of France passed away, and his son, Charles VII, ascended to the throne. The French nobility proclaimed, « Le roi est mort, vive le roi! » to signify the smooth transition of power.
The Meaning Behind The Song: Le Roi Est Mort; Vive le Roi! by Enigma
Enigma, the musical project formed by producer Michael Cretu, has taken the music world by storm with their unique blend of electronic and ambient sounds. One of their most captivating and thought-provoking tracks is “Le Roi Est Mort; Vive le Roi!” The title, translated from French as “The King Is Dead; Long Live the King,” immediately sparks curiosity and begs the question: what is the meaning behind this song?
Le Roi Est Mort, Vive Le Roi! (French for « The King Is Dead, Long Live The King! ») is the third studio album by the German musical project Enigma, released on 22 November 1996 by Virgin Records. The album reached to the top spot in Norway and the top five in Austria, Finland, Germany and Switzerland. It spawned two singles, « Beyond the Invisible » and « T.N.T. for the Brain ». A planned third single, « The Roundabout », was scrapped at the last minute for unclear reasons, even though a remix had already been created by DJ Quicksilver.[1]
vivant; LE ROI EST mort VIVE LE Roi C’est le cri de la vieille monarchie, c’est aussi le cri de la monarchie nouvelle. Un double principe politique est renfermé dans cette acclamation de la douleur et de la joie l’hérédité de la famille souveraine, l’immortalité de l’Etat. C’est à la loi salique que nous devons, comme nation, une existence dont la durée n’a point d’exemple dans les annales du monde. Nos pères étaient si convaincus de l’excellence de cette loi, que, dans la crainte de la violer, ils ne reconnurent point immédiatement Philippe de Valois pour successeur de Charles le Bel. A la mort de celui-ci, la monarchie demeura sans monarque. La reine était grosse elle pouvoit porter ou ne pas porter le Roi dans son sein en attendant, on resta soumis à la légiti-
Des funérailles royales françaises, on ne retient généralement que les proclamations du héraut d’armes lors de la mise au tombeau de la dépouille : Le roi est mort. Vive le roi ! L’exposition présentée au château de Versailles pour le tricentenaire de la mort de Louis XIV et le livre qui l’accompagne donnent à voir et à comprendre un rituel méconnu : celui des funérailles du grand roi, de son exposition dans sa chambre mortuaire le 1er septembre 1715 à son inhumation dans l’abbaye de Saint-Denis le 23 octobre suivant. Ces obsèques marquèrent l’aboutissement, en même temps que le profond renouvellement, d’un cérémonial séculaire qui allait devenir l’une des plus éclatantes manifestations de la civilisation de cour.