L’essentiel et les points à retenir :
- Yukio Mishima reste un mystère pour beaucoup, un écrivain de génie épris de tradition et de modernité, basculant de la création à la destruction.
- Mishima a incarné toute la grandeur, les échecs et les contradictions du Japon de l’après-guerre, un personnage fascinant qui a achevé son œuvre de façon spectaculaire à travers un ultime acte : la mise en scène de sa propre mort.
- Le roman graphique « Mishima » raconte la vie de cet artiste flamboyant, s’inspirant en partie de son célèbre livre « Confessions d’un Masque ».
- La vie de Yukio Mishima peut être lue comme un manga, avec une mise en scène qui pourrait surprendre en commençant par la fin.
- Mishima a déclaré « Ma mort est mon chef-d’œuvre absolu » avant de réaliser le traditionnel seppuku avec l’aide de son ami Morita Masakatsu le 25/11/1970.
- Le Japon moderne est décrit comme laid par Mishima, reflétant son point de vue sur la société de son époque.
Confessions d’un masque enfin démasqué Il faut un ennemi pour avancer « Le Japon moderne est laid » « Ma mort est mon chef d’oeuvre absolu » Prière entendue… 25/11/1970 Mishima effectue le traditionnel seppuku avec l’aide de son Ami Morita Masakatsu … Roman graphique MISHIMA Pourrait se lire comme un Manga Tu tournes la première page Mais tu commences par sa fin !??
« Ma mort est mon chef-d’œuvre » Pour beaucoup, Yukio Mishima reste un mystère. Écrivain de génie, épris de tradition et de modernité, basculant de la création à la destruction, esthète de toutes les ambivalences et de toutes les controverses, il livre un regard sans précédent dans le paysage culturel japonais et mondial. Celle d’un homme qui a incarné à la fois toute la grandeur, les échecs et les contradictions du Japon de l’après-guerre. Un personnage fascinant qui achèvera son œuvre de façon spectaculaire à travers un ultime acte : la mise en scène de sa propre mort. Avec Mishima , Patrick Weber raconte la vie de cet artiste flamboyant, s’inspirant en partie de son célèbre livre Confessions d’un Masque . Faisant appel au dessin tout en finesse de Li-An, il livre un roman graphique passionnant et subtil qui permet d’entrevoir une période cruciale de l’histoire du Japon contemporain.
« Ma mort est mon chef-d’œuvre »Pour beaucoup, Yukio Mishima reste un mystère. Écrivain de génie, épris de tradition et de modernité, basculant de la création à la destruction, esthète de toutes les ambivalences et de toutes les controverses, il livre un regard sans précédent dans le paysage culturel japonais et mondial. Celle d’un homme qui a incarné à la fois toute la grandeur, les échecs et les contradictions du Japon de l’après-guerre. Un personnage fascinant qui achèvera son œuvre de façon spectaculaire à travers un ultime acte : la mise en scène de sa propre mort.Avec Mishima, Patrick Weber raconte la vie de cet artiste flamboyant, s’inspirant en partie de son célèbre livre Confessions d’un Masque. Faisant appel au dessin tout en finesse de Li-An, il livre un roman graphique passionnant et subtil qui permet d’entrevoir une période cruciale de l’histoire du Japon contemporain.
Journal du Japon vous propose un roman graphique qui retrace brillamment la vie d’un des plus grands écrivains japonais, Yukio MISHIMA. Que vous connaissiez ou pas cet artiste, ce livre vous captivera. Et aujourd’hui, presque 50 ans après sa mort, on vous dit pourquoi !
Un personnage fascinant
Le prologue, les dix-neuf chapitres et l’épilogue de ce très beau roman graphique aux éditions Glénat permettent de découvrir la vie de Yukio MISHIMA, de sa naissance en 1925 à sa mort le 25 novembre 1970 (minutieusement préparée, par seppuku, et qui eut un retentissement mondial).