Pourquoi Doillon n’était pas aux obsèques de Jane Birkin ?
Saviez-vous que les obsèques de Jane Birkin, cette icône française de la chanson et du cinéma, ont suscité des interrogations dignes d’une enquête de film noir ? Oui, vous avez bien entendu. Au milieu des larmes et des hommages, un homme était conspicu : Jacques Doillon, son ex-compagnon, qui a brillé par son absence. Alors, pourquoi cet homme, connu pour avoir partagé une partie de la vie de Birkin, n’a-t-il pas fait le déplacement ? Allons-y avec un bon plaidoyer façon romcom, car cette histoire mérite son lot de drame.
L’absence comme révélation
Tout d’abord, soyons clairs : l’absence n’est pas toujours une déclaration de guerre, mais parfois simplement un choix. Jacques Doillon n’a pas fait de vagues ni de déclarations tonitruantes concernant son ex-compagne. « La pudeur », dit-on, était son maître mot, alors pourquoi s’afficher dans un endroit où il aurait probablement attiré l’attention comme une mouche sur une tarte à la crème ? C’est vrai, les obsèques sont souvent le lieu des retrouvailles et des confrontations, mais Doillon semble avoir opté pour la tranquillité d’esprit, laissant peut-être un pan de leur histoire en dehors de ce chapitre si triste.
Il est vrai que les funérailles sont des moments chargés d’émotion, où l’on se retrouve généralement entouré de proches et d’amis. Mais, que faire lorsque l’on a une histoire compliquée avec la personne qui repose en paix ? Pour Doillon, il doit s’être retrouvé dans un dilemme existentiel aussi dérangeant qu’hilarant : « Dois-je y aller et risquer de croiser des exs plus exotiques que moi ? » Spoiler alert : il a choisi le mode silencieux.
La complexité des relations
Les relations amoureuses, surtout quand elles se terminent, ressemblent parfois à un bon vieux spaghetti aux fruits de mer que vous ne parvenez jamais à dénouer. Doillon et Birkin ont partagé plus que leur amour ; ils ont partagé une complicité, des enfants, et des souvenirs épars comme des confettis après une fête qui aurait mal tourné. Mais qu’en est-il des blessures ? Les absences significatives ne sont pas toujours dues à un manque d’affection, mais plutôt à un besoin de se protéger d’anciennes douleurs. Peut-être que Doillon a simplement choisi de faire l’impasse pour ne pas raviver de vieux souvenirs, des éclats de rire et des disputes, des journées ensoleillées sur des plages et des nuits humides à Paris.
Après tout, qui peut réellement dire ce qui se passe dans la tête d’un ex ? Il faut être un peu fou pour gravir les escaliers de l’enfer en restant sur des souvenirs d’un passé commun. N’est-ce pas ? En vrai, il faut avoir du courage pour se retrouver dans un tel environnement sans sombrer dans la mélancolie, et cela est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit d’une ancienne flamme iconique comme Jane Birkin.
Une question de timing
Ah, le fameux timing ! N’est-ce pas un des sujets les plus controversés de l’histoire de l’humanité ? Tout le monde sait que l’univers aime rire de nous en y jouant. Donc, que se passe-t-il quand votre ex décide de faire des adieux définitifs et que vous êtes soi-disant « préoccupé » par vos propres affaires ? C’est le cas classique de la vie qui s’emmêle, non ?
Il se pourrait également que Doillon ait été accaparé par d’autres projets, peut-être en train de réaliser un chef-d’œuvre cinématographique, ou présidant une réunion sur l’art aborigène — qui sait ? Étant donné que la vie ne fait pas de pause pour les obsèques, cela pourrait vraiment être un mélange de mauvais timing et d’une dose fétichisée de mélancolie. Peut-être voulait-il respecter la mémoire de Birkin en s’éloignant de l’affaire et en laissant ses amis et sa famille se rassembler pour l’honorer sans complications supplémentaires.
Les règles non écrites des obsèques
Au-delà du manque d’affection ou de moments douloureux, il existe des règles non écrites qui régissent l’art d’assister aux obsèques. C’est presque comme une danse macabre : qui vient, qui ne vient pas, qui pleure, qui se remémore, et qui s’enhardit à sortir les vielles histoires de famille. Pour Jacques Doillon, l’artiste dans l’âme, ces règles peuvent sembler un peu trop contraignantes. Qui veut réellement se retrouver coincé dans un coin de la pièce à discuter avec un cousin éloigné qui raconte des blagues douteuses quand la star du moment est absente ? Pas lui, sûrement.
Peut-être a-t-il pensé que sa présence ne serait qu’une douleur supplémentaire dans la douleur collective. La recherche de la tranquillité d’esprit est un choix que beaucoup d’entre nous peuvent prendre, surtout quand on craint que la solitude se transforme en un flot d’émotions inattendues. Qui veut affronter une mer de larmes alors qu’on pourrait passer un bon moment avec un bon livre ou un bon film ?
Le poids de l’héritage
Si on évoque Jane Birkin, il est impossible de ne pas parler de son héritage : actrice, chanteuse, icône de style, et mère. C’est exactement cette silhouette emblématique qui submerge ceux qui ont eu la chance de croiser son chemin. Mais que faire si l’autre moitié de l’équation (nous parlons ici de Doillon, bien sûr) est éclipsée par la taille du cœur immense de Birkin ? Il se pourrait qu’il ait considéré que sa présence n’ajouterait rien à cette grande tapisserie de souvenirs que les autres étaient déjà en train de tisser. Si l’absence de Doillon lors des obsèques est son choix, le respect de l’héritage de Birkin peut très bien être son plaidoyer silencieux.
La perception que chacun a de la mort et du deuil varie énormément. Jacques Doillon, en choisissant de ne pas apparaître aux obsèques de Jane, pourrait avoir pris la direction opposée à celle d’une exposition publique des émotions, préférant garder ses souvenirs et son chagrin dans une boîte scellée, comme le fameux sac en osier de Birkin que tant de gens cherchent désespérément à acheter.
Conclusion : un choix personnel
En somme, pourquoi Doillon n’était pas aux obsèques de Jane Birkin ? Simplement parce que, parfois, l’authenticité d’un lien ne se mesure pas à la présence physique mais à une attitude de respect et à une certaine dignité. Chaque individu vit le deuil à sa façon, et si Doillon a choisi d’honorer la mémoire de Birkin dans l’intimité de son cœur plutôt qu’en faisant un pied de nez aux regards curieux des autres, alors c’est tout à fait sa décision. Alors, levons nos verres en l’honneur de Jane, et saluons le choix de cet homme de rester en dehors de la lumière, loin des feux de la rampe. Qui sait ? Peut-être en est-il le gardien silencieux !