Qui a refusé le premier Taratata ?
Il était une fois dans le monde de la musique française, un petit bijou nommé Taratata. L’émission, animée par le charismatique Nagui, a fait ses débuts le 10 janvier 1993 sur France 2, s’imposant rapidement comme l’un des programmes musicaux les plus emblématiques du paysage audiovisuel français. Mais saviez-vous que, malgré le fait qu’« un auteur de nouveaux tubes en série, Jean-Jacques Goldman, a été convié, il a préféré dire non à l’invitation » ? Allez, un peu d’humour ici : même les stars ont des jours de flemme !
Avant de plonger dans le refus de Goldman, faisons un petit tour dans la machine à voyager dans le temps. Revenons donc à cette époque où Taratata a vu le jour. L’émission a attiré des artistes de tous genres, mais également des cas assez… particuliers, j’en suis sûr. Je veux dire, à quel point devait-on être audacieux pour tenter de percer à seuil dans un format encore inédit ?
Démarrage en trombe mais refus glamour
Donc, revenons à notre sujet principal : Jean-Jacques Goldman. Ce nom sonne comme une mélodie familière, ou devrais-je dire un bruit réconfortant, pour ceux qui sont nés dans les années 70 et 80. Considéré comme l’un des plus grands chanteurs et compositeurs français, sa contribution musicale est indéniable. Pourtant, même les plus grands étoiles ont parfois envie de rester confortablement au chaud avec un bon chocolat chaud, plutôt que de se produire à la télévision en direct. Ainsi, lorsque Nagui l’a invité à faire partie du tout premier Taratata, Goldman a dit non. Ah, la célébrité est-elle vraiment tout ce qu’on en dit ?
Mais, attendez, il y a une histoire beaucoup plus captivante ici. Goldman, en fin de compte, a agi comme un super-héros inattendu d’une nuit. Il a fait une intervention frénétique, deux heures avant que le second numéro ne soit tourné, et devinez quoi ? Il a littéralement sauvé l’émission des griffes de l’oubli ! Imaginez sa tête à l’idée que son nom ne serait pas sur le célèbre tableau de la gloire de Taratata. “Non merci, je vais rester chez moi” puis “Mais attendez, je ne peux pas laisser tomber ces pauvres artistes !”
Le premier Taratata et ses invités
Le premier Taratata, sans la présence de notre cher Goldman, a tout de même réussi à rassembler un impressionnant fil d’artistes qui ont accepté de participer. Parmi eux, Bernard Lavilliers a été l’un des premiers à dire « oui » comme si c’était une simple conversation autour d’un café. Bien joué, Lavilliers, l’étoile de ce premier Cast ! Nous avons aussi eu Zazie, Pascal Obispo et Florent Pagny, qui ont ajouté leur touche personnelle à cette première diffusion. Allez, franchement, qui peut résister à l’idée de partager la scène avec d’autres légendes comme celles-là ?
Taratata a lancé la tendance de promouvoir des duos inattendus et de faire découvrir de nouveaux talents. Devendra Banhart et Katie Melua, qui se seraient probablement perdus dans un autre monde, ont vraiment vu leurs carrières exploser grâce à l’émission. Mais revenons à nos artistes en face d’un Nagui souriant : quelle douce ironie que l’un des noms les plus connus de la chanson française ait décidé de prendre une pause au mauvais moment. Mais je m’égare !
Le grand schisme ou comment Goldman a ouvert la voie
Goldman, dans sa volonté d’éviter le petit écran, a probablement fait frémir quelques producteurs. Mais soyons réalistes, cela n’a fait qu’augmenter le mystère et le prestige de l’émission. Après tout, qui ne serait pas curieux de voir pourquoi un tel géant de la musique refuse une invitation sur un programme aussi incontournable ?! C’est un peu comme si l’énigmatique David Bowie avait décidé de snober un gala où il devait briller. Combien de fois par jour devez-vous passer dans votre voiture en roulant avec les cheveux au vent pour que cela arrive ?
Pour rappel, après le lancement de Taratata, l’émission a réellement modifié le paysage musical français, osant mettre en avant des artistes inconnus à l’époque. Si ce n’était pas pour le refus de Goldman – quel effet d’entraînement se serait produit ? – D’autant plus que son retour ultérieur en tant que héros inattendu a certainement redonné un souffle de vie à l’émission. On peut dire que son nom, à lui seul, avait attiré l’attention des maisons de disques ! Quel beau scénario vous ne trouvez pas ?
Les évènements marquants et le poids des années
Aujourd’hui, en 2023, Taratata célèbre ses 30 ans. Oui, vous avez bien entendu, trois décennies de musique, de moments mémorables et de mélodies. La célébration a même été marquée par un concert spécial, rassemblant 80 artistes ; preuve que l’émission n’est pas prête de s’éteindre de sitôt. Mais la question persiste : qui aurait penché du bon côté à l’époque où les cassettes audio régnaient ? Les années 90, je dis… Tout un autre monde, un monde si… analogique !
Pour les plus jeunes qui ne connaissent pas Taratata, imaginez une version moderne de votre plateforme musicale favorite mais avec de vraies performances, des duos inattendus, et le bon vieux charme d’un animateur qui fait des blagues. Jean-Philippe Bourdon, qui a également ajouté de la magie avec son éclairage, est passé à l’histoire avec deux Sept d’or. Oui, encore une autre étoile qui brille dans le ciel de la télévision française.
Conclusion : La légende du Taratata du futur
Ainsi, la question qui revient sans cesse est : Qui a refusé le premier Taratata ? La réponse peut sembler banale, mais elle cache une histoire aux ramifications profondes. Jean-Jacques Goldman, malgré son refus initial, s’est finalement révélé être un atout incontournable pour le programme.
En entreprise comme en musique, il y a parfois des décisions difficiles à prendre. Alors, cher lecteur, rappelez-vous cette leçon importante : même si vous recevez une invitation à faire quelque chose de grandiose, un peu de recul et de réflexion ne sauraient faire de mal. Après tout, cela pourrait simplement ouvrir la porte à quelque chose d’encore plus grand !
Et voilà! Une autre page tournée dans l’album de la musique française. Que dira le temps à venir ? Taratata continuera peut-être à nous surprendre et probablement à révéler quelques autres refus d’artistes, non ? Nous espérons que Jean-Jacques fera sa grande apparition lors d’une future édition parce que, soyons honnêtes, qui d’autre pourrait rivaliser avec un tel héros des temps modernes ? La suite reste à écrire !