Lambert Wilson, qui sont les femmes de sa vie ?
Marié à l’actrice Diane Lane de 1988 à 1994, Lambert Wilson est le père d’Eleanor. Seule et unique fille de l’acteur, celle-ci est née en 1993. Après sa séparation avec la mère de sa fille, Lambert Wilson a fréquenté Sophie Desmarais avant de tomber amoureux de Sophie Marceau. Sa relation avec cette dernière a duré sept ans (entre 2007 et 2014). Deux ans après cette séparation, Lambert Wilson a révélé qu’il s’est mis en couple avec Karima Zerkani-Rayal qui est une grande femme d’affaires. Le Français qui a marqué l’univers du cinéma a également eu une courte relation amoureuse avec l’actrice italienne Camilla Ferranti.Source: Legit.ng
La suite après la publicitéIl est de loin l’un des acteurs les plus élégants et charismatiques du cinéma français actuel. Il est donc tout naturel de se demander si Lambert Wilson est amoureux et si oui, qui partage la couche de ce bel homme âgé de 57 ans. Paris Match, qui l’a longuement interviewé, n’y est pas allé par quatre chemins en demandant à l’intéressé si finalement, il pourrait dire qu’il aime autant les hommes que les femmes – lui qui répondait à des questions autour de son intimité et de sa vie privée.
La vie sentimentale de Lambert Wilson est un véritable mystère. Est-il aujourd’hui en couple ? Qui a-t-il fréquenté par le passé ? À peine sait-on que l’acteur est bisexuel, d’après ses propres déclarations en 2016 auprès du magazine Paris Match. Célibataire à l’époque, l’interprète du Mérovingien dans Matrix avait indiqué « avoir pratiqué la quête effrénée de la personne idéale » et vouloir désormais prendre son temps : « J’ai envie d’attendre une vraie histoire, en prenant le risque qu’elle n’arrive pas », confiait-il. De nouveau interviewé par le magazine d’actualités pour son numéro de ce jeudi 23 février, à l’occasion de la sortie du film Les choses simples (en salles depuis ce mercredi 22 février), pour lequel il partage l’affiche avec Grégory Gadebois, la star en a dit un peu plus sur son passé amoureux.
Lambert Wilson est né le 3 août 1958 à Neuilly-sur-Seine. Son père est l’acteur et metteur en scène Georges Wilson, disparu en 2010, un an après sa mère, ancien mannequin. Lambert a un frère aîné Jean-Marie, né en 1956.
Ce mardi 12 avril, dès 23h10 sur France 3, Lambert Wilson s’allongera sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel. Outre le récit des dernières heures de Marie Trintignant, qu’il a accompagnée jusqu’à son dernier souffle, le comédien a évoqué sa bisexualité comme on peut le voir dans l’extrait dévoilé par la troisième chaîne. « C’est comme si la dépression m’avait ouvert sur un amour plus vaste. C’est curieux parce que c’est presque un peu mystique. C’est quelque chose qui est lié à l’amour avec un grand A, c’est ça qui m’intéresse, a-t-il confié. Le détail du sexe… Tout ça, ce n’est pas très intéressant. J’ai aimé des femmes, j’ai aimé des hommes. C’est du détail. Ce qui compte, c’est l’amour, les êtres qu’on rencontre ! »
Il nous a donné rendez-vous dans un sublime hôtel parisien. Sans surprise, de la part de cet homme so british. Par son nom, bien sûr, qui lui vient d’un grand-père irlandais. Par son éclectisme artistique – chant, théâtre, cinéma, comédie musicale… –, qu’il a développé durant ses années de formation. Par son allure, surtout, cette élégance un peu froide qui ne le lâche pas. On s’attend à être ébloui par un homme solaire en costume impeccable. Sac à dos sur l’épaule, le pas hésitant et les yeux collés sur son téléphone, il a davantage l’air d’un baroudeur perdu. On lui sourit, il n’y répond pas et part s’asseoir seul dans un coin. On a beau savoir qu’il faut aller le rejoindre, quelque chose en lui fait obstacle et ce n’est pas que son téléphone : il est ailleurs. Il est très loin. Lambert Wilson avoue qu’il vient de vivre une année « mémorable », « une année de toutes les émotions, les plus sombres et les plus lumineuses ». Des succès exceptionnels, des deuils majeurs. « En quelques mois, c’est beaucoup pour un seul homme », confie-t-il. On comprend mieux son arrivée flottante. Et l’on tombe en empathie pour un type qui se révèle d’une attention rare et bienveillante. Épaules de rugbyman et gestes gracieux de danseur, visage sculpté à la serpe et regard intensément doux, Lambert Wilson est tout entier un immense paradoxe. En quête consciente de réconciliation.
Discret sur sa vie privée, Lambert Wilson a pourtant décidé de faire une exception et d’ouvrir les portes de son refuge bourguignon à Paris Match. Le comédien, qui a fait son retour mercredi au cinéma dans Les Choses simples d’Eric Besnard, a accueilli nos confrères dans le moulin cher à son cœur. Une maison dans laquelle il a su trouver une source d’apaisement alors qu’il traversait il y a 13 ans l’une des pires épreuves d’une vie.
Lambert Wilson est rare en interview et reste discret sur sa vie privée. Invité dans Le Divan de Marc-Olivier Fogiel, le comédien s’est confié comme jamais lors de son passage dans l’émission du 12 avril dernier, rediffusée le mardi 2 mai. Après Pierre Bergé, Anny Dupery, mais aussi Pierre Arditi, c’est donc au tour de l’acteur des Hommes et des dieux de s’allonger dans le fauteuil rouge. Lambert Wilson évoque sa relation conflictuelle avec son père Georges Wilson, son amour pour l’Abbé Pierre, et les derniers instants de Marie Trintignant, dont il était très proche.
He was the master of ceremonies for the opening and closing ceremonies of the 2014 and 2015 Cannes Film Festival. In February 2016, he released a tribute album called Wilson chante Montand to the singer Yves Montand to commemorate the 25th anniversary of the death of the artist. Among the 17 tracks on the album there is Mais qu’est-ce que j’ai ? which was composed by Henri Betti with the lyrics by Édith Piaf in 1947. The musical arrangements of the 17 songs were made by Bruno Fontaine. Also in 2016, he portrayed Jacques Cousteau in the biopic The Odyssey.[10]
Maître de cérémonie du Festival de Cannes 2014.Fils de l’acteur et metteur en scène Georges Wilson.Parlant aussi bien français qu’anglais, Lambert Wilson baigne dès son plus jeune âge dans le milieu théâtral. Il suit de 1974 à 1978 une formation d’art dramatique au Center Drama de Londres, où il apprend le métier d’acteur mais aussi le chant et la musique. En 1977, il apparaît dans Julia de Fred Zinnemann qui le dirigera à nouveau face à Sean Connery dans Cinq jours ce printemps-là (1983). Le grand public, lui, apprend à le connaître à partir de La Boum 2 (1982), comédie de Claude Pinoteau dans laquelle il joue un prétendant de la jeune Vic (Sophie Marceau).