Quels sont les deux chanteurs que Johnny Hallyday n’aimait pas ?
Ah, Johnny Hallyday, le titan de la musique française, le rockeur à la voix d’or. Si l’on devait lui donner un super-pouvoir, ce serait probablement celui d’élever la musique à un niveau où même les anges oseraient taper des pieds. Mais derrière son sourire charismatique et sa voix ravageuse, se cachait un homme avec ses goûts et ses aversions. Parlons donc de ceux qui n’ont pas su récolter l’affection de ce grand homme de la chanson. Dans son livre, « Johnny Hallyday et ses anges gardiens, la vérité enfin dévoilée », l’auteur Rhoul a plaidé en faveur d’une révélation qui a des allures de scoop. Spoiler alert : Johnny n’était pas du tout fan de Claude François et Dick Rivers. Oui, vous avez bien lu, mesdames et messieurs.
Claude François : L’étoile qui agace
Ah, Claude François, l’icône de la variété française qui a su conquérir le cœur des foules avec ses chansons entraînantes et ses chorégraphies désordonnées. Pour beaucoup, il était une étoile brillante dans le ciel de la musique. Mais pour Johnny, c’était plutôt une étoile qui brillait trop, parfois même de manière éblouissante et agaçante. Il faut dire que Johnny ne s’est jamais caché de son aversion pour François, le jugeant « inhumain » avec son entourage.
Que s’est-il passé entre ces deux géants de la scène musicale française ? D’abord, pensons à leur personnalité. Johnny, le rockeur rebelle, puise sa force d’un univers de liberté et d’indépendance, tandis que Claude, ardent promoteur de la perfection scénique, cultivait une image soigneusement polie. Vous pouvez facilement imaginer que ces deux-là, en matière d’alchimie, n’étaient pas exactement du même acabit. Johnny devait flairer chez Claude cette arrogance qui, selon lui, s’intégrait mal dans le monde de la musique. Un vrai contraste de styles, si l’on regarde bien.
Pour Johnny, il était important que l’art reste authentique, loin des paillettes tape-à-l’œil et des faux-semblants. La passion de Claude pour les feux de la rampe transparaissait souvent dans ses interactions avec ses collaborateurs. À en croire les rumeurs, Johnny préférait tenir ses distances, désireux de rester fidèle à sa vision artistique. Ce n’est pas que Johnny Hallyday avait un problème avec la gloire ou la reconnaissance, mais disons qu’il n’appréciait pas le facteur « brillant comme un soleil », qui, selon lui, vampirisait l’énergie des autres.
Dick Rivers : Le surfeur maudit
Ah… Dick Rivers, le surfeur au sourire éclatant, qui, comme Johnny, cherchait sa place dans la musique. Bien que Rivers ait été une figure marquante du rock français, amoureusement bercé par les riffs de guitare, il n’a pas échappé à la rancœur du grand Johnny. La rivalité entre ces deux artistes, bien que moins médiatisée que celle avec François, n’en était pas moins palpable.
En fait, Johnny voyait en Dick un autre personnage qui, à ses yeux, manquait de respect pour ceux qui l’entouraient. Le même constat : l’inhumanité, cette capacité à négliger son entourage au profit d’une image de rock star, était en toile de fond de leur histoire. Quand Johnny a exprimé son aversion à l’égard de Dick, il a bien sûr évoqué leur rencontre, une situation où les sourires n’étaient pas vraiment au rendez-vous. Deux égaux qui ne se sont jamais parfaitement entendus, chacun absorbé dans son propre univers musical.
Cette dynamique entre Johnny et Dick s’explique également par leur approche musicale. Johnny était le crooner brûlant, celui qui se laissait transporter par les émotions, alors que Dick, plutôt dans un style de rock’n’roll à l’américaine, s’adonnait fréquemment à un ton plus jovial et léger. Les goûts musicaux peuvent effectivement devenir des raisons d’inimitié, c’est un fait !
En résumé : Quand les dieux de la musique s’affrontent
Alors, pour répondre à la question pressante : Quels sont les deux chanteurs que Johnny Hallyday n’aimait pas ? La réponse se résume à ces deux noms : Claude François et Dick Rivers. Alors que la musique française continuait d’évoluer, Johnny Hallyday, lui, faisait savoir qu’il préférait prendre ses distances avec des artistes qu’il considérait comme étant, disons-le comme ça, pas très « rock’n’roll. » John Doe n’est pas venu sur terre pour être entouré de faux-semblants.
Cette histoire ne nous apprend pas seulement sur les personnalités des artistes, mais elle révèle également l’essence même du monde de la musique. La route est jalonnée d’affinités et d’inimitiés, et parfois, il est tout aussi intéressant de discuter de ce qui ne fonctionne pas que de célébrer ce qui marche. L’industrie musicale est comme une grande famille dysfonctionnelle, mais qui, heureusement, a pour elle les souvenirs inoubliables de grandioses balades et de riffs d’enfer.
Pour conclure : Un peu d’anecdote
Voilà, vous avez les clés d’un petit morceau de l’histoire musicale française. Et aussi moche que cela puisse paraître d’avoir de la rancœur dans ce milieu, il est très humain de ressentir cela. Claude François et Dick Rivers pouvaient être des icônes, mais Johnny Hallyday est le roi, et qui n’aime pas son roi n’aime pas la chanson ! Que vous soyez un fan de l’un ou de l’autre, gardez en tête que la musique est l’un des plus beaux langages que nous possède l’humanité et qu’il n’y a rien de mieux qu’une bonne dispute parmi les géants du genre !
La prochaine fois que vous fredonnerez une chanson de Johnny, n’oubliez pas cet affrontement que, bien qu’il ne fasse pas les gros titres, l’anecdote mérite bien quelques rires lors de vos prochaines conversations autour de la machine à café. Qui sait, peut-être qu’un jour, un film sera réalisé sur la rivalité entre ces trois icônes ? On a déjà un bon scénario en tête, non ?