Les compagnes de Serge Gainsbourg

Quelles sont les compagnes de Serge Gainsbourg ?

Ah, Serge Gainsbourg ! Ce nom résonne comme une mélodie envoûtante dans le cœur de la musique française. Mais, cher ami, tu n’es probablement pas ici pour discuter de ses albums emblématiques comme « Histoire de Melody Nelson » ou « L’Homme à la Tête de Chou ». Non, non, non ! Tu es ici pour faire connaissance avec les compagnes de ce poète provocateur, cet homme à la fois génie et garnement, qui a su faire chavirer tant de cœurs. Donc, enfile ton meilleur costume noir, prends une gorgée de whisky, et plongeons ensemble dans le jardin secret de Gainsbourg. Spoiler : ça ne va pas être très classique !

Les amours sans frontières de Serge

Né le 2 avril 1928 dans le 4e arrondissement de Paris, Serge Gainsbourg a débuté sa vie dans la tourmente, et cela ne s’est jamais vraiment apaisé. Avec une mère prénommée Olga Ginsburg, il a vite appris à jongler entre sentiments, musique et… disons, un certain sens de la provocation. Et si préparer une tasse de café dans une cuisine parisienne est compliqué, imaginer le tourbillon amoureux dans lequel s’est engouffré Gainsbourg l’est encore plus.

Serge a connu son lot de compagnes, et pas des moindres. Il a navigué dans un océan de passions, chacune plus tumultueuse que la précédente. Ses relations étaient emblématiques, souvent caractérisées par une dose d’humour, de drame, et une touche de voyeurisme pour bander les fascinés de l’art. Voici un petit coup d’œil sur certaines de ces femmes qui l’ont entouré dans cette danse intrigante.

1. Lise Levitzky : La compagne d’un poète

Commençons par Lise Levitzky, sa première épouse, qu’il a épousée en 1951. Ah, Lise, la muse des débuts ! Leur mariage a duré jusqu’en 1957, mais ne t’attends pas à une histoire d’amour ennuyeuse. Lise était non seulement sa femme, mais également sa partenaire dans la musique et l’art. Ensemble, ils ont vécu à Montparnasse, ce quartier si cher aux artistes. Oh, la vie à Montparnasse ! Cela devait sentir le café noir, le tabac froid, et bien sûr, l’odeur des rêves non réalisés.

Leur relation ne était pas exempte de disputes et de passion, comme les feuilles d’une chanson de Gainsbourg, ce qui est finalement devenu une belle source d’inspiration pour certains de ses premiers titres. Quelle belle récompense pour leurs chamailleries ! Cependant, leur mariage n’a pas su résister à l’érosion du temps et des engagements artistiques. Les années passèrent, mais n’oublions pas que dans le jardin de Gainsbourg, chaque fleur avait son propre parfum.

2. Brigitte Bardot : L’amour inoubliable

Ah, la légendaire Brigitte Bardot ! Que serait la France sans elle ? Quoiqu’il en soit, entre doubler les passions, Serge a brisé plusieurs cœurs, dont le cœur de la belle BB, sans doute l’une des relations les plus emblématiques de sa vie. Leur liaison a commencé dans les années 1960, et c’était littéralement une tempête de sensations avec une touche d’amour à la française. Gainsbourg a écrit « Je t’aime… moi non plus » pour Brigitte. Oui, juste ça, pas de pression !

Ce morceau, conçu et interprété dans une chaleur féroce, fut un gros succès, mais il a également créé des vagues de controverses. Leur passion était explosive, comme une bouteille de champagne ouverte trop vite. Ils ont partagé des nuits de folie et de passion, mais il s’avère que être un sex-symbol n’est pas assez pour faire durer une relation. La séparation de ce couple iconique était aussi inéluctable qu’un tel que le dernier album de Gainsbourg ! Mais son amour pour Bardot a perduré à travers les années, le tout encapsulé dans une bibliothèque de mélodies.

3. Jane Birkin : La muse anglaise

Vient ensuite Jane Birkin, la douce muse anglaise qui a capturé le cœur de Gainsbourg dans les années 1968. Leur relation est souvent décrite comme « la plus belle des erreurs ». Et qui ne pourrait pas s’amuser à jouer avec l’idée de l’errance amoureuse entre un homme Trash et une femme si délicate ? Ensemble, ils formaient un couple qui faisait rêver et, parfois, qui choquait. Leur célèbre chanson « Je t’aime… moi non plus » est devenue un hymne à la passion contradictoire et à l’amour inoubliable.

Birkin a également eu ses propres démons, et l’étrangeté de leur relation aboutissait souvent à des moments de véritable poésie mélancolique. C’était comme regarder un film de Bergman où l’amour est à la fois douloureux et exaltant. Quand elle a finalement quitté Serge, beaucoup s’attendaient à le voir sombrer dans une folie sans fin, mais ce dernier a plutôt utilisé cette douleur pour alimenter son génie créatif. Ah, être un artiste, n’est-ce pas ?

4. Bambou : La compagne mystérieuse

Enfin, tournons notre regard vers Bambou, qui est entrée dans sa vie dans les années 1980. Elle lui a donné un peu d’air frais après une aventure tumultueuse avec Birkin. Gainsbourg devait alors jongler avec sa carrière musicale tout en étant en couple avec cette belle femme, qui, comme une fleur, représentait une beauté simple mais profonde. Avec Bambou, l’artiste a trouvé un certain confort, une sorte d’opulence tranquille au milieu du chaos qu’il avait l’habitude de cultiver.

Leurs années passées ensemble étaient marquées par le calme et la tendresse. Bien qu’il semble que leur histoire ne soit pas aussi chaotique que ses relations précédentes, elle n’était pas dépourvue de mélancolie. Ces moments reflètent la stratégie de Gainsbourg pour se recentrer alors qu’il grandissait et cherchait des expériences nouvelles. Ils ont partagé une période pendant laquelle ilCombattait ses démons tout en créant de l’art à partir de l’amour et de la douleur. Une belle ironie, à dire vrai.

Des compagnes, des amours et de l’art

Il est évident que la vie amoureuse de Serge Gainsbourg fut tout autant un voyage que l’art lui-même. Chaque femme qu’il a côtoyée a laissé une empreinte indélébile sur sa musique et son œuvre. On peut dire que de ses compagnes naquirent, non seulement des chansons inoubliables, mais aussi des portraits de passions désenchantées et de plaisirs éprouvants.

Si l’on devait résumer ces relations, on les décrirait comme un tourbillon d’émotions sauvage tant elles allient amour et tragédie, humour et sarcasme. Sa capacité à exprimer chacune de ces expériences à travers sa musique nous a laissé une vaste collection de pièces magistrales à savourer.

Au bout du compte, pour quelqu’un comme Serge Gainsbourg, les compagnes ne furent pas que des figures d’une galerie, mais bien des muses vivantes qui ont donné une véritable couleur à la toile de sa vie tumultueuse. Dans cette libre mélodie qui reste encore, des décennies plus tard, sacre la place de chaque amoureuse dans la symphonie de son existence. Les souvenirs de ces relations murmurent encore quelque chose dans l’esprit des mélomanes. C’est l’art de la musique et de l’amour qui continue de résonner, comme une nostalgie douce-amère. Alors, levons notre verre et chantons en cœur les refrains tragiques et brillants de Gainsbourg !

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