Qui après Jacques Chirac ? Une plongée dans la valse des présidents français.

Qui après Jacques Chirac ? Une plongée dans la valse des présidents français

Ah, Jacques Chirac. Que de souvenirs ! Que de rires ! Que de… houleuses disputes sur les politiques publiques. Enfin, un homme aux multiples facettes qui a su marquer l’histoire française. Mais que se passe-t-il après lui ? Qui a pris la relève dans cette valse présidentielle que l’on pourrait presque comparer à un bal où chacun essaie de briller tout en évitant de marcher sur les pieds des autres ? Allez, on dénoue ce mystère avec un soupçon d’ironie et une bonne dose d’humour.

La jeunesse de Sarkozy : un vent de changement

En 2007, Nicolas Sarkozy, alias « Sarko » pour les intimes (ou pas), succède à Jacques Chirac. Oui, je parle bien du même homme qui a jugé qu’il était une bonne idée de prendre une douche avec des journalistes. Entre nous, c’est un peu comme passer de l’expertise culinaire à l’étranger à un cours de cuisine au micro-ondes. Bref, Sarkozy bat Ségolène Royal lors de l’élection présidentielle avec un programme qui fait vibrer la nation, promettant de réformer le pays, d’apporter le changement, et de régler à lui seul la crise financière qui, à l’époque, était sur le point de nous tomber dessus comme un éléphant dans un magasin de porcelaine.

La crise financière de 2007-2008, dont vous avez certainement entendu parler, a été comme un gros coup de poing dans l’estomac de l’économie mondiale, provenait des États-Unis. Sarkozy a alors joué les super-héros, en essayant de sauver le système bancaire et en répondant aux questions sur la crise comme si c’était un simple devoir d’une matinée à l’école. « Avez-vous pensé à réduire les dépenses ? » demandaient les journalistes. Réponse de Sarkozy : « Bien sûr, mais je préfère taxer les riches ! ». Oups, pardon les amis riches. En plus de la réforme économique, sa présidence a été marquée par certains passages mémorables à la télé, à tel point qu’on a commencé à se demander si “Président” était un métier ou un show télévisé.

François Hollande : le désenchantement

Puis vient François Hollande, le plus « normal » des candidats. Non pas qu’il soit ennuyeux, mais disons juste qu’il avait un petit air de « s’il vous plaît maman, je veux aller au parc ». Élu en mai 2012 après avoir placé le « travailler plus pour gagner plus » dans le flou de l’incertitude, il prend les rênes du pays avec un bon vieux « Moi, président… ». Ah là là, rien que d’y penser, ça me rappelle une de ces promesses d’enfance que l’on peut briser avec un simple souffle. Pour lui, c’est des promesses et encore des promesses ! Mais soyons réalistes, qui n’a jamais vendu un rêve en politique ?

Le mandat de François Hollande, c’est aussi « l’homme de la situation ». En tout cas, c’est ce qu’il espérait. Avait-il une cape de super-héros quelque part dans son placard ? On aurait dit que la cape manquait, puisque la France se retrouvait face à une vague de crises économiques et sociales. Les manifestations, les grèves et les réactions à sa loi sur le mariage pour tous ressemblaient à une grande fête où tout le monde s’est invité sans qu’on ait demandé leur avis. Ses paroles celebrity du type « la France est de retour » étaient assourdies par le vacarme des personnes mécontentes. Un vrai soap opéra en somme !

Le facteur de désillusion : le quinquennat difficile de Hollande

Tout cela nous amène à un autre point : la désillusion. François Hollande connaît une popularité plongée dans le désespoir, comme un soufflé qui ne lève jamais. C’était le premier président à avoir utilisé l’expression « mon ennemi, c’est la finance » (au cas où vous vous serait demandé qui est le méchant dans tous ces films, c’était vous, les riches !). Et pendant que nous étions tous en train de regarder, démunis et un peu amusés, le pays avait commencé à mettre en lumière les fameux attentats terroristes qui ont secoué la nation. Cela a mis à l’épreuve non seulement les politiques de sécurité mais aussi la stabilité de la République. Un vrai casse-tête, où l’on avait toujours besoin d’un puzzle en plus juste pour s’en sortir.

Un cocktail d’incertitudes

Alors, après Jacques Chirac, que nous reste-t-il ? On a vu que les successeurs cherchent à naviguer dans des eaux tumultueuses, tout en jonglant avec des promesses, des crises et un vent de désenchantement populaire. C’est un peu comme être un pompier tout en jouant à la roulette russe. Les inondations, les incendies, et désormais, les crises migratoires étaient des invités surprises à ce grand banquet de la présidence, ce qui lui a permis de créer un cocktail de tensions à chaque coin de rue.

Certains ont même commencé à se demander si Jacques Chirac n’était pas, en fin de compte, un président chanceux de pouvoir passer ses années en corrélation avec des crises mineures. Peut-être que son héritage était en réalité une question de timing. Timé comme un bon whisky dans une tempête, en fait. Je ne dis pas que Chirac a pris des décisions parfaites, mais disons juste qu’il savait comment faire face aux tempêtes avec un grand sourire, aux côtés de ses amis d’Irak et d’ailleurs.

Le futur : encore des luttes et un miroir déformant

Que nous réserve l’avenir ? Humour à part, l’héritage des présidents restant après Chirac, c’est un mélange d’incertitudes, de réformes nécessaires et de cette mauvaise habitude que les politiciens ont de faire des promesses sans les tenir. Mais l’un des plus grands enseignements de cette période tumultueuse est que chaque président, qu’il soit Sarkozy ou Hollande, doit faire face à des défis qui dépassent souvent leurs attentes.

C’est un peu comme si la France était un grand cirque et que chaque président était un clown au milieu de la piste, jonglant avec des ballons de baudruche en forme de lois et de réformes. Des lois qui, disons-le, parfois éclatent avec bruit, pendant que les spectateurs apprennent à ne pas trop rire. Assister à cette période de changements et de luttes donne une telle perspective sur la nature même de la politique française. Qui après Jacques Chirac ? Eh bien, semble-t-il, un spectacle que nous serons encore heureux de partager ensemble :

Un regard vers l’avant

Ce que le futur nous réserve reste à voir, chaque président après Chirac ayant laissé leur empreinte sur cette belle patrie que nous appelons la France. Ce qui est certain, c’est que le pays continuera d’évoluer, d’apprendre, et de s’adapter à la réalité sauvage de la politique. Alors, attachez vos ceintures, car la danse des présidents se poursuivra, et nous serons là pour la regarder avec des popcorns.

Un héritage complexe

En fin de compte, l’héritage de Jacques Chirac est un mélange de réalité et d’illusions qui ont façonné la façon dont nous voyons la présidence aujourd’hui. Les successeurs, qu’ils soient intenses comme Sarkozy ou calmes comme Hollande, apportent chacun leurs lots de défis et d’accomplissements, tantôt en faisant rire, tantôt en piquant les nerfs. La véritable question n’est peut-être pas qui a succédé à Jacques Chirac, mais plutôt ce que ce dernier a laissé derrière lui : une France dynamique, flottante dans une mer de changements. Et cela, mesdames et messieurs, est l’essentiel.

Alors, la politique française, à l’instar d’une grande scène de théâtre, continue d’évoluer, et ses acteurs, des personnages de plus en plus loufoques, se battent pour écraser la concurrence. Et qui sait ? Peut-être qu’après tout cela, un jour, l’un d’eux apprendra à danser correctement sur la piste de ce bal politique.

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