Comment allait le fils du marchand ?
Ah, le fils du marchand,… ce personnage qui aurait pu remporter un Oscar pour son rôle de paresseux ! Mais ne nous précipitons pas. Plongeons dans cette histoire rocambolesque qui ne manque pas de piquant. Comment allait-il, ce fameux Somadatta, dont le seul vrai prénom semble être « paresse » ? Spoiler alert ! Il n’allait pas trop bien, à moins que « bien » ne soit synonyme de dormir jusqu’à midi.
Un Portrait d’Acharnement :
Il était une fois, dans un monde qui semblait avoir oublié le sens du mot « travail », un jeune homme nommé Somadatta. Oui, cet enfant maudit par la paresse s’était approprié le titre de « fils du marchand. » Imaginez un garçon qui pense que se faire gronder par son père est le sport national. Le père, ce brave homme, tenait un magasin, mais comment prospérer quand son fils était beaucoup plus intéressé par le conte du « dormeur de la nuit » que par les ardeurs du commerce ?
Son père, en désespoir de cause, n’hésitait pas à secouer sa tête, les sourcils froncés, comme s’il était en train de scanner un prix à la baisse sur le marché de l’absurdité. “Somadatta, si tu ne te réveilles pas et n’arrêtes pas de rêvasser, tu finiras par devenir un marchand de rêves… et je doute que le marché soit juteux !”
Une Souris, Deux Souris :
Pour rendre les choses encore plus palpitantes, le père de Somadatta lui offrit un animal de compagnie. Qui refuserait une petite souris ? Oui, je ne vous parle pas d’un emblématique « souris de laboratoire », mais plutôt d’une souris morte. Oui, vous avez bien lu, une charmante petite souris sans vie, probablement le résultat d’une mauvaise négociation à la foire des animaux. Je vois déjà Somadatta, tout excité : « Merci Papa, je vais l’appeler Flocon, parce qu’elle est si immobile qu’elle pourrait aussi bien être en pleine congélation ! »
Mais alors que vous imaginiez notre héros s’épanouir dans son doux foyer, la vérité est bien plus colorée. Somadatta avait en fait une autre souris, mais elle était… comment dire… une petite souris dorée ! Que ce soit de la magie ou simplement une comédie de circonstances, seul Somadatta savait. Peut-être qu’il avait échangé sa souris morte contre une créature scintillante, façon “Aladdin et la lampe merveilleuse”, mais en mode “Aladdin et la souris dorée”.
Un Cerveau Vert de Paresse :
Somadatta, avec son cerveau conformiste (ou devrais-je dire “paresseux”), avait réussi à tromper son père en adoptant une attitude de « je prend un peu de temps pour réfléchir à la vie » – ce qui, dans sa vision des choses, se traduisait par s’effondrer sur le canapé, que l’on soit en hiver ou en été. Le pauvre marchand observant son fils devenant plus expert en siestes qu’en commerce, une véritable tragédie !
Son père répétait souvent : « La paresse n’a jamais mené à la prospérité. » Mais Somadatta, écœuré par de telles phrases, privilégiait à la place des récits de rats héroïques (on devine qui était son héros) et des souris illumineuses. Nous sommes confrontés ici à un phénomène intéressant : lorsque le monde réel se heurte à l’imagination d’un jeune garçon en quête d’évasion. Somadatta, alité, s’imaginait faire la connaissance de créatures merveilleuses et de trésors cachés. Je mise un franc que son logiciel de rêve était bien plus puissant que toutes les applications disponibles sur le marché des appareils numériques.
Morale de l’Histoire :
Donc, la leçon ici, mes amis, est simple : la paresse est une douce mélodie, mais certes pas un chemin droit vers le succès. Tandis que Somadatta cédait à la douce tentation de paresser, son père continuait à travailler dur, espérant qu’un jour, la magie de la responsabilité frapperait son fils. Et qui sait ? Peut-être qu’à force de se faire gronder, un jour, il se transformerait en un homme d’affaires réputé, surmontant sa réputation de “fils du marchand paresseux” pour embrasser une destinée plus brillante. En attendant, Somadatta, la souris dorée à ses côtés, continuait de rêver. Peut-être qu’un jour, il irait au marché… mais pour le découvrir.
Conclusion :
Alors, comment allait le fils du marchand ? Sans surprise, il était en mode “paresse extrême”. Beaucoup pourraient dire qu’il s’agissait d’un tragique manquement à l’obligation, mais je préfère le considérer comme le héros de sa propre histoire, celle d’un jeune homme luttant pour trouver son chemin… ou simplement l’oreiller le plus confortable de la maison. Chers lecteurs, la morale que je retiens est que parfois, un petit coup de pouce, un brin d’imagination et une souris dorée peuvent faire toute la différence dans l’équation de la vie. À bon entendeur !